La nomination de Christine Lagarde à la tête de la Banque centrale européenne soulève d'importantes questions politiques et démocratiques. Elle pose également d'épineuses questions juridiques, la condamnation de l'ancienne ministre pour son rôle dans l'affaire Tapie faisant manifestement obstacle à sa nomination en conformité aux traités européens.
En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites.