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TANK

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Dans l’air du temps ou « déjà vue » ? ... suite
Dans mon billet précédent j'ai tenté de transcrire au plus juste un fait d'actualité qui me semble préoccupant, survenu en début de semaine. J'ai traduit avec beaucoup de précaution et non sans mal, les textes parus en Néerlandais à fin de restituer dans une autre langue et culture des faits au plus juste. Car ce qu'ils révèlent est peut-être plus important que le mal entendu suite à une déformation ou traitement non précautionneux de l'information. L'artiste s'exprime avec beaucoup de rigueur et justesse pour contrer toute raccourci ou mauvaise interprétation. Pour être complète dans ma transcription de cette actualité, je traduis aujourd'hui ce que nous pouvons lire depuis jeudi sur le webblogde Herman van Veen. (Je vous invite à lire le billet précédent pour tout comprendre.) -
Dans l’air du temps ou « déjà vue » ?
Aux Pays-Bas, le cabaretier néerlandais Herman van Veen suggérait samedi dernier dans une lettre de lecteur publié par le quotidien de gauche De Volkskrant à Geert Wilders, (le leader du mouvement néerlandais d’extrême droit PVV), de transformer son mouvement politique en un parti politique « normale », constitué de membres. Dans la même lettre, Herman van Veen qualifiait le PVV comme« un risque pour la sécurité de l'Etat » [néerlandais]: .Lettre de lecteur, publié dans De Volkskrant le 7 Novembre (extrait) -
Berlin, mars 1991
Depuis plus de 20 ans je me rends une ou deux fois par an à Berlin. -
LE PEINTRE
C’était un an ou deux après la mort du peintre, l’été où j’avais trouvé un travail dans la ville d’à côté. Une femme passait régulièrement. Elle était toujours en colère. Elle revendiquait, semblait fâché contre quelqu’un ou quelque chose. -
L’abri
Dans un jardin au bord de l'eau, -
L’inconnu
C’est une plage d’accès difficile, tout en bas d’une falaise au bout d’un sentier qui court la garrigue. -
Mon pull coloré de presque 100 ans.
J’ai passé une journée sur internet sur les traces d’un peintre-photographe Austro-hongrois et sa famille. Je suis épuisée. -
Que faut-il Faire?
Hier soir à 2 reprises -
A Kundera, en mai 2007 et en écho à l'actualité
Je suis émerveillée les jours où la langue m’ouvre une porte inattendue vers un mot précis et juste, à la connotation si obscurément évidente en temps normal, que les natifs d’une langue maternelle usent sans réfléchir et sans se prendre la tête, mais aussi sans qu’ils soupçonnent leur bonheur.Quand on est exilé à jamais, de gré ou de force, on risque de passer le reste de sa vie enfermé dans une forme d’expression verbale approximative.