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A Ablavi Antoinette Adjeoda Ivon (Da Anbtou), à Jocelyne Adriant-Mebtoul, Noémie & Alice de Lapparent, à Aminata Georgette Seck, à Myriam Encaoua, à Eugénie Bastié, à Marie Taffoureau, tout à fait saine d'esprit mais rétive à l'acceptation de cette injustice frappant des femmes et des filles de plus en plus jeunes, qui sont délaissées par leurs parents ou même leur plus proche entourage...
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A Marie, Eugénie, Myriam, Soraya et Aminata, Loreleï et Daniela... Pour leur résistance à toute épreuve face aux provocations, les manipulations, les maquillages défigurant les politiques vis-à-vis des migrants et restreignant une forme de primeur, de primauté, quasi-primitive et donc impérative, en faveur des résidents étrangers ayant acquis la nationalité française sans renier leur culture
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A Marie T., étudiante en L1 à Paris Nanterre, Anastasia Pryakhina, étudiante franco-russe en recherche d'un atterrissage en science politique à l'université ; et à Laure Boulleau, journaliste à Canal +, notamment au sein du Canal Football Club (CFC) ; à André Kaspi ; par Mehdi T. Allal, juriste et historien spécialiste de l'histoire des Etats-Unis, notamment de la minorité noire américaine...
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A Myriam, Eugénie, Aminata, Marie et Soraya, Daniela et Loreleï ; à la liberté des otages, un dégagisme généralisé, à gauche de l'échiquier, au profit d'un changement politique radical en faveur du RN et ses alliés loyaux, un noyau novateur pour la France, un modèle pour le monde civilisé, dont l'Occident n'a pas le monopole, également prisé contre l'abattement des pays musulmans les plus fervents
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A Brigitte Bardot, pour ses chansons "la madrague" et "l'appareil à soupirs", Brigitte Bardet, ma mère ; à Marie ; à Boulogne-Billancourt et ses équipes ; à Lila, la reine féline et jamais fétide ; à Edith Piaf pour "les amants d'un jour" et Rachid Taha (carte de séjour) pour "douce France" ; au développement réellement durable ailleurs, notamment aux Etats-Unis, en Algérie et en France...
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A Carlos Solarte, son cousin assassiné par le gouvernement actuel au Venezuela, et à sa mère qui pleure à l'asile... A Christine et Mathieu Laemlé ; à Dora Chikhaoui, chargée de projets LCD au sein du SEII...
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A Marie T., étudiante à Paris Nanterre
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A Baya Kasmi ; pour Antonin et Mélinée ; à l'occasion de la commémoration du 17 octobre 1961, de la mort de Yaya Sinouar, de la lutte contre l'oubli des victimes du 7 octobre 2023, une journée "blanche", celle de l'anniversaire de mariage de mes parents naturels, née française et ayant été naturalisé, grâce à sa femme adorée, et jamais étripée, extirpée d'unions manquées, comme celle avec Navel...
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A Myriam Encaoua, journaliste sur La Chaîne Parlementaire (LCP)
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Pour subtiliser l'idée de quotas au profit d'une véritable justice populaire, le nez en l'air, pour le beur, l'argent du beur et sans la crémière sur le comptoir, par respect pour les filles devenues les objets d'une pédagogie de féministes à la "mords-moi le nœud", devenue une science sociale, avec des séminaires, des scénarii de Lesbos en manque d'éducation, de caution...