Les gains de productivité physique entraînent des baisses de prix dans certains secteurs.
Ce qui est en soi une bonne chose, mais qui se heurte à 3 conséquences dommageables : sociales, environnementales, financières ; ces dernières verrouillent les deux premières externalités négatives.
Pour les déverrouiller, il faut d’abord annuler les dettes insupportables.
Nous ne vivons pas dans des sociétés dominées par les marchés, mais par les capitalistes financiers, qui s’affranchissent des États et les mettent à leur service. L’État doit reprendre le contrôle de nos finances.
Certains prévoient un effondrement de notre espèce causé par la pollution, le changement climatique et la raréfaction des ressources. D’autres, comme le récent prix Nobel d’économie Nordhaus[1], prévoient une hausse du PIB, et même une hausse « optimale » des températures de 3,5°C. Contradiction ? Pas forcément…
La création de monnaie arme le ressort qui gonfle les bulles financières, dont l’éclatement détruit la monnaie, et provoque les crises financières, économiques, sociales. Pour les gens ordinaires. Les banques, elles, il faut bien les sauver, non ? NON.
Et oser justifier ainsi la suppression de l’impôt sur la fortune ? Il faut non seulement le rétablir, mais l’augmenter, ainsi que l’impôt sur les grandes successions.