psychanalyste, écrivain, publications, ed du Seuil, Maspéro-la découverte, Harmattan, Actes-sud, Gallimard, Achab, ed du Crépuscule, psychanalyse actuelle
Paris - France
Pourrions-nous vraiment tirer profit d’un certain d’impasses, d’évènements et de pensées qui ont déjà coûter si cher à ce qu’il est convenu d’appeler l’humanité que nous sommes et serions, dont, en tant qu’êtres humains, nous sommes partie ?
Peut-être pourrait-on s’inspirer de quelques lignes extraites d’un article paru en Algérie dans une revue du nom de Naqd pour comprendre des phénomènes de violences commises par de jeunes personnes dont on n'aurait pas soupçonné la détermination à accomplir des meurtres-crimes-assassinats de personnes civiles inconnues d’elles et sans liens avec elles.
Par Nabile Farès
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Comment comprendre ce que vient de dire le premier ministre de l’état d’Israël, Monsieur Benjamin Nétanyahou, sans se laisser aller à des explications d’extrêmes légèretés, telles celles qui nous parlent de « fatigue du premier ministre », de « méprise », de « bourde », les plus graves étant de « méconnaissance historique », de « falsification historique » et aussi bien de « révisionisme » ?
Ce que les meurtres récents indignes, inutiles, révoltants, d’écrivains, de dessinateurs, de créatrices, créateurs, citoyennes, citoyens, femmes, hommes, qui nous peinent, nous donnent à penser : il est grand temps de faire exister, et coexister autrement les institutions familiales, écoles, ministères, associations qui ont en charge les transformations, créations, impasses, passages, des vies sociales communes, étatiques, solidaires, éthiques et existencielles.
Quelques jours avant l’assassinat d’Hervé Gourdel en Algérie par un groupe islamiste récemment affilié, scotché, au dit Etat Islamique Daech, Gilles Kepel était en Kabylie non loin du lieu qui connut la mise en scène impitoyable, importune, sans honte, de cet assassinat.
Oui, même si le temps n’est pas au beau, c’est l’été. Mercredi 20 août, la famille Manoukian, Arménienne et demandeuse d’asile, ici, en France, pas très loin de Paris, a été convoquée à l’hôtel de police de Beauvais, le matin, à 10h.
Pour le cinquante et unième anniversaire de son indépendance, l’Algérie est toujours sans nouvelles de son président actuel, Abdelaziz Bouteflika, hospitalisé à Paris depuis plusieurs mois.