À la suite des attaques récentes d'Israël, des récits ont émergé depuis les hôpitaux iraniens, révélant une opacité extrême, des transferts suspects de munitions vers des lieux civils et une pression insupportable sur les soignants. Alors que Téhéran ne peut être évacuée, la population reste prisonnière entre deux feux : la répression du régime et les attaques étrangères.
Réécrire le récit collectif pour redonner voix aux oubliées de l’Histoire
Pendant des siècles, les femmes ont été marginalisées dans les récits historiques dominants. Invisibilisées, oubliées, parfois effacées, elles n’ont pourtant jamais cessé d’agir, de résister, de transformer le monde. Il est temps de reconsidérer notre regard sur l’histoire pour reconnaître leur rôle essentiel.
Dans un pays où chaque rue peut devenir un piège, et où les institutions censées protéger deviennent parfois des lieux de souffrance, des millions de femmes iraniennes vivent sous la menace constante d’une violence systémique. Cet article explore les mécanismes qui l’alimentent et les voix qui la dénoncent.
Téhéran, célèbre section 209 de la prison d’Evin – La première fois que je l’ai vue, elle était terrifiée.
Deux cellules, deux destins. J’étais enfermée dans la cellule 23, elle dans la cellule 12,
d’où elle avait entendu ma voix.
Je veux le dédier à #Cécile_Kohler.