Un mois après le tir de grenade qui a gravement blessé à la tête notre fils Serge, le 25 mars 2023, lors de la manifestation contre les mégabassines de Sainte-Soline, l’incertitude subsiste concernant son avenir.
Par Nestor Romero
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« Les 200 blessés de Sainte-Soline – dont notre fils Serge et Mickaël, les plus gravement atteints – ne sont pas le résultat d’une “mauvaise gestion de l’ordre”, d’erreurs de tel ou tel, ou simplement le fruit du hasard. Le responsable, c’est un Etat qui a veut mettre à genoux toute contestation sociale afin de mieux gérer l’exploitation du travail dans les années à venir, face à la crise que connaît le capitalisme pour se perpétuer. » Ce communiqué a été lu lors de la soirée de soutien aux Soulèvements de la terre.
J'y serais bien allé mais, bon, disons le poids des ans, pour faire vite, alors j'ai voulu voir, j'ai allumé la télé, et là, l'horreur et la honte absolues.
Tomás Ibáñez est professeur émérite (comme on dit) de psychologie sociale (Université de Barcelone). Militant anarchiste, il est l'un des théoriciens de « l'anarchisme sans dogmes », formulation que je préfère à celle de « post-anarchisme".
Chantal Mouffe vient de publier « La révolution démocratique verte » (Albin Michel) ce qui ne peut que réjouir toutes celles et ceux qui depuis tant d’années ont posé la question de l’écologie comme préoccupation essentielle car vitale pour l’humanité.
Par Nestor Romero
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Travail, valeur, pédagogie, dignité : ces vocables constellent les éditoriaux et pétillent sur les écrans en toute opacité et toute confusion. De quelle sorte d’activité est-il question ? Et qu’est-ce donc que cette « valeur », cette « pédagogie » jamais suffisante et cette « dignité » sans cesse évoquées ?
A-t-on prêté une attention suffisante à ce verbe, “gommer”, employé par B. Macron dans sa désormais célèbre occurrence quant au port de l’uniforme à l’école ? Je n'en suis pas sûr...
Alors que le ministre patauge lamentablement pour présenter une pseudo-réforme dite "soutien et approfondissement" qui a fait la preuve de son ineptie il y a plus de cinquantre ans, des enseignants se mobilisent et mettent en évidence la réalité du "terrain".
Ça recommence ! Le nouveau ministère de l’Education nationale « s’attaque », comme les précédents, au « maillon faible » du système éducatif : le collège. Et que propose le nouveau ministre ? Ce qui a été proposé cent fois depuis la loi Haby de 1975 instituant le collège unique.