Regard libertaire sur le "langage marchand" comme vitrine du capitalisme : pub, médias, industries culturelles
Critiques et décryptages.
Blog : https://unefiguedanslavitrine.blogspot.fr/
Les labels qualité, qui certifient de l'égalité professionnelle ou du développement durable, sont un marché florissant. Mais comment une structure peut recevoir un label sans qu'il reflète la réalité du terrain ? Et comment le processus de certification d'une structure peut en freiner l'activité professionnelle ? Bienvenue dans la logique marchande de la labellocratie.
En ce 8 mars 2019, je poste ici les pages d'un article extrait de l'excellente revue Chéribibi, à propos de l'importance des arts martiaux dans les luttes féministes du début du XXè siècle en Grande-Bretagne. Les pages sont à consulter dans le blog "Une figue dans la vitrine".
Hier, je publiais ici mon article intitulé : #HackingParis : une opération tech, geek, fric — sur un événement organisée par la ville de Paris, dont l'objectif est de promouvoir le modèle capitaliste des startup.
Voici un autre article de janvier, sur la novlangue libérale utilisée dans les campagnes de com' des collectivités territoriales.
Le "Hacking de l’Hôtel de Ville", événement organisé par la ville de Paris le 21 mars, c'est l'entre-soi de la Start-up nation et la gentrification. On y trouvera des startupers, des investisseurs, et la com' utilise déjà tout le vocabulaire de la novlangue libérale.
La start-up nation, système qui met sur le plan de l'efficience économique tout ce qui concerne la vie en société, a adopté son propre langage. Voilà comment la ville de Paris en fait usage, même pour vanter une action écologique et sociale. (voir billet de blog unefiguedanslavitrine.blogspot.com)
Mercredi, les médias marchands, majoritairement aux mains d'oligarques et d'actionnaires, se sont empressés de traduire un sondage trompeur IFOP pour Ouest-France en gros titres rentables. Mais ce n'est pas du luxe de revenir sur la question phare, sur la façon dont elle oriente les réponses.
Depuis ce mois d’octobre, la fondation Louis Vuitton expose Jean-Michel Basquiat. L'effervescence qu'il y a régulièrement autour de Basquiat ressemble à un malentendu. Car cet artiste est surtout un produit idéal pour le marché de l'art...
Retour sur une chronique de film de 1932, à propos de la sortie du film (-culte) "FREAKS", de Tod Browning. A la lecture de ce texte, on mesure l'évolution des mentalités puisqu'à l'époque, même dans un tel journal, on pouvait manifester le dégoût et le mépris envers les plus démunis.