Regard libertaire sur le "langage marchand", vitrine du capitalisme (pub, médias, industries culturelles)
Critiques et décryptages pour s'en affranchir.
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Le 3 février, l’hebdo satirique a cru bon d’épingler les fonctionnaires de Paris. La satire visait des jours de congés conquis lors des négociations, en relayant des erreurs. Une rectification a été publiée. Mais ce qui étonne, c'est que le Canard s'est fait l’écho d'un discours néolibéral selon lequel les fonctionnaires sont fainéants et leurs acquis illégitimes. Réponse.
La trame du disque "Radio Bistan" : En 2020, au Bistan, un chanteur-président prend le pouvoir et applique de manière assez autoritaire un programme écologique ambitieux. Petite pub pour un grand artiste.
A l'heure où un pédophile notoire ressort de sa boîte par le biais d'un livre (à paraître) qui le met en cause, je retombe sur un texte récent d'Isabelle Adjani pour les Inrockuptibles. Ce texte fait référence à une autre affaire, rendue publique par Adèle Haenel, mais prend a un nouvel écho aujourd'hui...
Depuis des années, l'afro est devenue une norme de représentation des femmes noires, dans la sphère marchande. Une norme qui révèle des stéréotypes hérités du colonialisme, et dictés par la quête du profit.
Alors que ce choix capillaire était un signe politique avant tout, il s'est aujourd’hui généralisé, dans les médias et dans la pub, pour représenter le glamour et le cool.
Depuis quelques jours, dans sa com' interne, la mairie de Paris informe sur ses projets — désormais bien avancés — de créer la "promenade urbaine Barbès - La Chapelle", adaptée des populations plus riches, plus libérales, et d'y attirer les investisseurs.
Les labels qualité, qui certifient de l'égalité professionnelle ou du développement durable, sont un marché florissant. Mais comment une structure peut recevoir un label sans qu'il reflète la réalité du terrain ? Et comment le processus de certification d'une structure peut en freiner l'activité professionnelle ? Bienvenue dans la logique marchande de la labellocratie.
En ce 8 mars 2019, je poste ici les pages d'un article extrait de l'excellente revue Chéribibi, à propos de l'importance des arts martiaux dans les luttes féministes du début du XXè siècle en Grande-Bretagne. Les pages sont à consulter dans le blog "Une figue dans la vitrine".
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