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Portrait en trompe-l’œil d'un écrivain fantôme

Dans un ciel écarlate, un homme semble planer. Vole-t-il ou est-il plutôt en train de tomber ? C'est toute l'ambiguïté de la pochette de l’album qui rappelle Icare trop désireux de s'approcher du soleil. Une chose est sûre, nous sommes dans un univers où le noir a disparu, substitué par des couleurs chaudes, rouge et jaune, synonymes d'incendie.

La stupéfaction est de mise dans les laboratoires d'astrophysique devant cette découverte qui a fait l'effet d'un véritable coup de tonnerre dans les milieux scientifiques du monde entier. L'émoi se justifie d'autant plus que, selon les premiers rapports d'analyse, certains composants de cette glace finement ciselée seraient antifascistes.

Le principe de Vivarium est le même que celui de La Planète des singes : mettre en scène des hommes dans les situations atroces vécues habituellement par les animaux.

            La película empieza sencillamente con el plano detalle de una bota militar que aplasta la cabeza sangrienta de un hombre. Se escucha el ruido del coche que anda en un camino que parece irregular. La bota está todavia en la cara del hombre. Quizás la víctima esté inconsciente.

El lector que inicia la lectura de este libro identifica rápidamente el tono autobiográfico : el texto parece el diario íntimo donde Bellatin habla de su vida cotidiana. Sin embargo, algunos detalles irrumpen que destabilizan esta perspectiva e impiden el relato de caer en la trampa de la escritura introspectiva.

Durante su conferencia en la Casa Refugio Citlaltépetl, en México DF, el pasado 21 de marzo, Mario Bellatin leyó un relato autobiográfico en el cual narra su relación peculiar con un spray que lo alivió del asma cuando era niño. Este spray era a la vez símbolo de curación cuando tenía que aguantar una crisis pero también de muerte. Efectivamente, el médico pretendía que este remedio afectaba el corazón y podía provocar un paro cárdiaco.