Il y a exactement 50 ans aujourd’hui, le 31 janvier 1964, le Président de la République de l’époque, le Général de Gaulle, expliquait dans une conférence de presse, ce que devait être le fonctionnement de la Ve République.
Le Comité Nobel norvégien vient d'attribuer le prix Nobel de la paix 2013 à l'Organisation internationale pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC), chargée de faire appliquer la convention d’interdiction de ces armes signée en 1993 à Paris à l’initiative du Président François Mitterrand.Cette distinction est un hommage mérité à une organisation qui, sans bénéficier de beaucoup de publicité, accomplit avec patience et rigueur un travail d’un intérêt primordial pour l’ensemble de l’humanité.
Enfin, des bonnes nouvelles ! L’entretien téléphonique entre Barack Obama et le président iranien Rohani (le premier contact officiel à ce niveau depuis 34 ans) et le vote par le Conseil de sécurité unanime de la résolution 2118 (qui encadre la destruction de l'arsenal chimique syrien) semblent indiquer qu’une voie pour un règlement politique commence à se dégager au Moyen Orient.
Par Paul Quilès
| 53 commentaires
| 11 recommandés
L'homme a failli depuis longtemps. Il a fraudé avant même d’être parlementaire puis ministre. Il a menti publiquement, alors qu’il était ministre. La situation est d’autant plus grave que ce ministre était chargé de lutter contre la fraude fiscale et que son comportement est aux antipodes des valeurs dont se réclame sa famille politique.
Par Paul Quilès
| 87 commentaires
| 11 recommandés
Depuis l’annonce de l’intervention militaire française au Mali, les commentaires mélangent allègrement quatre problèmes que cette opération serait censée résoudre : l’intégrité de l’Etat malien, la sécurité des 6 000 ressortissants français, le sort de nos otages, la lutte contre le terrorisme islamiste.
Par Paul Quilès
| 144 commentaires
| 14 recommandés
Depuis 16 mois, le boucher de Damas écrase son pays sous une répression sanglante, qui a causé 19 000 morts, dont 600 au cours des 2 derniers jours. C’est donc un terrible sentiment d’impuissance que l’on ressent devant l’incapacité de la communauté internationale à mettre fin au calvaire du peuple syrien.
La cause est entendue : sauf surprise, très improbable, la gauche sera majoritaire à l’Assemblée Nationale dans une semaine et c’est tant mieux. Le changement promis par François Hollande et espéré par les Français ne pourrait pas se réaliser sans une majorité parlementaire claire et cohérente.
Le dramatique génocide des Tutsis du Rwanda n'en finit pas de donner lieu à des polémiques assez tristes, où les camps en présence, forts de leurs convictions, s'efforcent de faire la preuve qu'ils détiennent la vérité. Il n'est naturellement pas répréhensible de vouloir convaincre, sauf lorsque les approximations, les anathèmes, la manipulation créent un climat peu propice à la manifestation de cette vérité.