Être ou ne pas être un citoyen responsable ? Accomplir ou bafouer le devoir que nous ont légué nos ancêtres ? Assumer d’être capricieux, tourné vers notre seul nombril et de négliger l’action politique qui se fait dans les urnes, tourner le dos à la démocratie ? Autant de questions qui portant un discours culpabilisant.
'La guerre de tous contre tous'
Rentré ce soir à Saint-Denis, où je vis. Les prises de position qui m’ont donné quelque visibilité il y a deux semaines n’auront pas à rougir de ce que je m’apprête à écrire. C'est moins la colère que la réflexion sur les principes, toujours, qui me pousse à produire cet article sur le constat d'un pacte civil dépassé. La violence n'appelle que la violence.
Ou « De la démystification de l’humanité comme phénomène ». D’un naturel insomniaque, je passe de nombreuses nuits à regarder des films, ce qui me permet de cultiver toujours plus largement, et dans toutes les directions, ma connaissance du cinéma. Ayant regardé Layer Cake, j’ai voulu voir ce fameux film, Bronson.
Je dois saisir de nouveau la tribune de De rerum urbi, ce soir, à propos des attentats du vendredi 13 novembre, que tout le monde sait. Et je veux faire part de mes inquiétudes. Je terminais Ne laissons pas s’installer l’esprit de guerre par l’expression de mes craintes ; la dynamique politique qui s’ébauche tend à les confirmer.
Ceux qui s’apprêtent à me lire, ce matin, doivent s’attendre à ce que je vais écrire. La logique qui a présidé à mon article sur Charlie Hebdo il y a onze mois s’impose encore à ma pensée, et je la suis.
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