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Autocollant de campagne d'inscription de la Guyane, en 2014, sur la liste des pays à décoloniser, au sein du Comité, dit "Comité des 24", issu lui-même de la IV ème Commission "Politiques Spéciales et Décolonisation" de l'Assemblée Générale de l'ONU.Il présente la carte et le drapeau de la Guyane entourés de ses partenaires patriotes au sens large que sont : l'Organisation Guyanaise des Droits Humains (OGDH), le Front pour l'Indépendance de la Guyane (FIG), le Komité Drapo (KD), le Comité International pour l'Indépendance de la Guyane (CISIG) lien ici : http://www.alainet.org/es/node/77464 + l'article de la journaliste uruguayenne Cristina Iriarte "Les Malouines et la Guyane : deux enclaves dans la Patria Grande" sur le site de l'Agence Latinoaméricaine d'information dont le texte figure en commentaire en 3 parties et le Séminaire Ibéroaméricain d'Études Socio-économiques (SIESE).
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1972, la lettre du Premier Ministre Pierre Messmer à son Secrétaire d’État aux "DOM-TOM", publiée par le bulletin de l'Union Calédonienne (UC) en 1984. L'esprit et la lettre (pourtant réfrigérants) inspirent encore les générations de politiques aux responsabilités qui ont suivi, de gauche comme de droite, à défendre les grands intérêts de l'État et son maintien dans ses extensions territoriales."Ils veulent nous noyer, mais notre Résistance est d'unité sous-marine et solidaire !" Soley' ! Pièr.Photo Alex-Pascal Ferdinand sur Facebook lien ici
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Sur le site de France-GuyaneCinq auteurs ont participé au concours initié par l'association guyanaise René-Maran. Le premier prix est décerné ce soir (vendredi 28 novembre) à la mairie de Cayenne.« René-Maran est passionnant. » On ne peut arrêter Richard Djiropo quand il parle de l'auteur guyanais. Le président de l'association guyanaise René-Maran est intarissable sur le premier Prix Goncourt noir, en 1921. « C'est grâce à lui que la parole nègre a été libérée en France » , poursuit-il. Créée en 2011, l'association qu'il préside s'est toujours évertuée à travailler en faveur de la création littéraire. Ce soir, elle remet le prix René-Maran, le cinquième de son histoire.« Il y a eu très peu de concurrents mais le niveau est relevé » , concède Richard Djiropo. Il prévient que le président du jury, Serge Patient, lui, parle d'un « excellent cru » , rassuré de voir que « la relève est assurée » . Pour ce concours organisé tous les deux ans, le thème retenu est : « une enfance d'ailleurs » . Cinq auteurs ont participé au concours. Ils sont tous présents ce soir à l'hôtel de ville de Cayenne pour entendre le verdict.
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"Tu sais déjà la charge de l’irréparable qu’il te revient de remporter sur le devant de nos histoires !Tiens, en toute vigilance _nous te l’ordonnerons en temps utiles, comme à tant d’autres avant et après toi_ l’unité de notre contestation pour davantage encore percer l’ouverture offensive de nos chants héroïques dans les feux hypnotiques de l’empire ! Hier, la désolation des libertés, aujourd’hui, les réappropriations dues au sacrement de nos peuples ! À chaque soleil dressé, l’esprit de notre oracle et les actes de nos vivants porteront votre monde à connaitre son intime beauté !"
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KAOHA !"Ecoutes battre en ton cœur le feu nourrissant de nos victoires ! Tu y puiseras le courage des mots là oû nous frapperons les esprits !Et prends la déportée des eaux que nous t'offrons là pour combattre en nos domaines !La mer des Caraïbes connût sépulture des siens dès les premiers temps, et l'Atlantique-Nord sema jardin de tourment pour l'éternité !Tu quittes ceux qui survécurent là-bas pour venir à nous, tous aussi triomphants du trépas que connurent nos pères rangés en tourbe au sein meuble de nos terres Ma'ohi !L’ultime sérénité de nos âmes ne reposera qu’une fois ouvertes les eaux et la porte de Havaïki !""KAOHA NUI !" ("Salut !")
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Le 28 mars 2017, 40 000 manifestants marchèrent sur Cayenne contre le néocolonialisme et l'exploitation. Le peuple guyanais et sa jeunesse notamment étudiante qui a arraché l'Université de Guyane en 2013, nous ont démontré, comme à chaque nouvelle occasion, que la nation est possible chaque fois que la responsabilité globale met en acte les résolutions autonomes de nos conflits internes.
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BORICAL le Poilu Noir de Guyane(La face cachée d'une trop belle histoire). Par Servais Alphonsine La commémoration, par la France, de la première guerre mondiale donne lieu à de nombreuses manifestations dont les peuples de ses colonies semblent bien indifférents.Pour les obliger à se sentir concernés, une campagne de publicité à outrance est déployée, relatant les faits d'armes de quelques malheureux enrôlés de force dans un conflit que ne les concernait pas.En Guyane, le Héros malgré lui est le soldat BORICAL, tombé à Verdun. C'est à travers le parcours de ce militaire que nous allons retracer ce qui est diamétralement opposé à la version officielle dont nous sommes abreuvés.En effet, y aurait-il eu un engouement spontané des Guyanais pour aller se battre en Europe ?…
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Pierre Carpentier a partagé la photo de Richard DjiropoEnfin du sang neuf à nourrir et renouveler la vigueur de l'acte d'écrire, et de témoigner du monde !Richard DjiropoMesdames et messieurs, L’Association Guyanaise René Maran vous invite à assister à la remise du 5è Prix René Maran, à la mairie de Cayenne, à partir de 18h 30, le 28 novembre.Vous découvrirez entre autres, les ouvrages offerts par les héritiers de René Maran, à la Guyane, un aspect de la défense de la cause de l’homme noir extrait de l’œuvre littéraire de René Maran. Vous assisterez à l’éclosion d’un nouveau talent littéraire guyanais issu d’un bon cru de candidats.