Un débat? Hier les candidats à la candidature de L.R. ont causé sur BFMtv: un déballage épouvantable de propos d’extrême-droite ! Ce qui n’a pas semblé choquer les journalistes qui n’ont pas fait - à mon avis - leur travail en posant les bonnes questions.
Dans notre société aujourd’hui seul la logique comptable compte, cette logique est imposée par une idéologie mortifère, celle que défend notre Grand Président Emmanuel Macron… Lui même s’applique, en partie, cette obligation! Il a compté les « je » dans ses discours pour cacher sa mégalomanie.
Emmanuel Macron nous a offert deux beaux discours, à deux jours d'intervalle! Le peuple français en est tout ébahi d’autant que le Président a mué. Il a enfin réussi a trouver le bon ton, la voix grave qu’il lui fallait. Il a aussi cessé d’être, en même temps, de droite et de gauche! il est passé franchement à droite. Il est aussi, en même temps, devenu un simple Candidat.
DÉCLARATION DE PRINCIPES, NON JURIDIQUEMENT CONTRAIGNANTE MAIS FAISANT AUTORITÉ, POUR UN CONSENSUS MONDIAL SUR LA GESTION, LA CONSERVATION ET L'EXPLOITATION ÉCOLOGIQUEMENT VIABLE DE TOUS LES TYPES DE FORÊTS
Je fais parti des "centaines de suspendus". On me soupçonnerait sur mes intentions! J'ai été viré du corps électoral de la primaire des écolos comme un vulgaire facho.
"Passage to Marseille" est un film de Michael Curtiz sorti en 1944 qui s'inspire d'un roman "les hommes sans patrie" On y voit entre autres Humphrey Bogart, Michèle Morgan, Peter Lorre, Victor Francen. Ce qui est merveilleux dans ce film c'est son scénario alambiqué et que les figurants meurent en criant "Vive la France!" avec un accent américains à couper au couteau.
Encore une fois, le mépris de classe sort de la bouche des ministres, la polémique à propos de l'achat des "écrans plats", payé par les "allocations rentrées" en est la preuve.
C'est la rentrée, et tous les éditorialistes voudraient nous faire croire que tout continue comme avant. Pourtant, pendant que certains essayaient de suivre l'adage "vacances! J'oublie tout!" le Monde a changé définitivement.
Il est question de plusieurs miracles dans ce film, même si évidemment, ni la réalisatrice, ni moi-même, ne voyons dans « Le fils de l'épicière, le maire, le village er le monde » une quelconque intervention divine. Le prodige serait aussi que vous alliez voir ce film en salle parce qu’il est indispensable à voir là.
Dans l'Absurdistan français, tout fout le camp, le Président de la République qui voulait défendre un "en même temps" a installé un "double langage" où tout devient possible les plus grands délires de part et d'autre