Ici on débat et on agit pour la liberté, l'égalité et la fraternité, bref pour la République ! Ce blog prend parti. Il soutient les "dominés" face aux "dominants" (pouvoirs politique, financier, médiatique).1…
Il fait régulièrement le point sur la situation France/Palestine/Israël car le soutien des dirigeants français à l'extrême droite israélienne et sa politique raciste, de colonisation, d'apartheid et de massacres bafoue les principes et les valeurs de la République. Et cette complicité criminelle va de pair avec la dérive totalitaire en marche dans notre pays. Un de mes billets est permanent et mis à jour suivant l'actualité, il s'agit de "sémantique-politique", qui compare le sens des mots dans la vraie vie et le monde politico-médiatique : https://blogs.mediapart.fr/register/blog/290613/semantique-politique
"Il faut que tout change pour que rien ne change ! " Cette célèbre réplique du "Guépard", le film de Visconti inspiré du roman posthume de l'écrivain sicilien Lampedusa, semble particulièrement adaptée à la situation d'aujourd'hui. Le prince de Salina c'est Hollande et Tancrède, son héritier désigné, c'est Macron. Et pourtant, si on y regarde de plus près, tout a changé en fait !
Près de 20 % des électeurs viennent de voter à la présidentielle pour Jean Luc Mélenchon et le programme l'Avenir en Commun. Une victoire qui embarrasse au plus haut point toutes les forces rances de l'immobilisme rassemblées autour de Macron. La promotion de leur candidat n'est pas notre affaire. Entrons plutôt dès à présent en campagne pour des législatives de combat et de résistance !
Jean Luc Mélenchon a choisi de terminer son discours sur la Paix à Marseille par ce poème de Yannis Ritsos. Quelle image d'espoir que cette France Insoumise, en plein air, sur le Vieux Port, devant la Canebière, criant sa résistance et observant une minute de silence en hommage aux migrants morts en Méditerranée. Et quelle réhabilitation de la politique qu'un candidat qui nous respecte, enfin !
Comme chaque année le CRIF tient aujourd'hui son dîner où se pressent les politiciens en mal d'électeurs. L'an dernier, le premier ministre Manuel Valls, Bernard Cazeneuve, Najat Vallaud-Belkacem, Jean Vincent Placé et Emmanuel Macron y étaient. Nul doute qu'en cette année électorale ils seront encore nombreux à venir soutenir la politique d'Israël au milieu des people et des caméras.
Dans ces deux pays les images de femmes ont été effacées des catalogues Ikéa. La marque s'en excuse, parle à chaque fois d'erreur, mais les faits sont là. L'obscurantisme, le sexisme et la ségrégation font apparemment bon ménage avec le profit.
On croyait cette "affaire Fillon" une énième histoire d'abus de pouvoir. Celle d'un politicien avide, qui profite du laxisme d'une République à bout de souffle pour s'enrichir à tout va, et qui utilise femme et enfants pour cela. Et puis, au détour d'une interview, on découvre qu'il s'agit aussi d'un machiste ordinaire qui veut l'épouse au foyer ... comme d'autres la veulent cachée sous un voile !
Dans sa célèbre lettre à Jean Grave, Elisée Reclus nous donne de bonnes raisons de ne pas voter. Et il y en a : les mensonges, les abus de pouvoir, la corruption, la trahison des médiocres que nous élisons. Mais pour une fois nous avons la possibilité de voter pour nous, le peuple. Alors n'abdiquons pas, agissons, refondons la République, rejoignons la France Insoumise !
En 1517 Martin Luther, moine augustin, affiche ses thèses contre la vente des "indulgences". Ce sera le point de départ de la Réforme protestante. Indissociable de l'humanisme de la Renaissance et favorisée par les progrès de l'imprimerie, elle prendra un tour tragique en France avec les guerres de religion et le massacre de la St Barthélémy. Du combat pour la liberté de conscience à la laïcité !
Le 4 janvier 1960 Albert Camus, prix Nobel de littérature, nous quittait. Il aura été le seul intellectuel occidental à dénoncer l'usage de la bombe atomique, au lendemain du bombardement d'Hiroshima, dans son célèbre éditorial de "Combat" journal clandestin de la Résistance, du 8 août 1945. Au seuil de cette nouvelle année je vous invite à partager les mots de mon (lointain !) cousin.