Dans le monde du mensonge concerté, les histoires que les gens se racontent à eux-mêmes, pour essayer de plaquer une forme de transcendance déculpabilisatrice, sur ce qu'ils avaient envie faire, ont finalement assez peu d'intérêt.
Les Etats privatisés ont tout adopté des défauts de leurs actionnaires, et en tout premier, la sous capitalisation, financière, et forcément idéologique.
L’actuelle conquête de l’Est, complétée par l’accord UE_Mercosur, sont sensés remplacer la délocalisation en Asie, qui devient de semaines en semaines moins rentable.
La première »mondialisation » a réussi, la deuxième échouera.
Le concept de Géo-Politique, est une illusion, sensée offrir une utilité fonctionnelle, aux bureaucraties politiques, utilité compensant leur évidente inutilité locale.
La prétendue « Transition » (écologique/énergétique/tout-électrique) illustre à merveille le cliché suivant lequel, « il faut que tout change pour que rien ne change » (Le Guépard, 1958).
Le « changement » consiste en l’occurrence à coller l’étiquette « verte » sur tout ce qui depuis 200 ans détruit la verdure .
Une nouvelle série de Politique Réalité, vient de commencer à l’ Assemblée Nationale. Apres quelques semaines d’un teasing haletant, la Censure a été votée.
Quand l'Etat, garant et défenseur de l'exploitation économique, juge un politicien, il s'arroge le droit de s'aventurer sur le terrain de l'évaluation, de l'exploitation de la crédulité.
La stratégie social démocrate, d’accompagnement critique du Capitalisme, n’en finit plus de faire des petits.
Elle contamine aujourd’hui, toutes les révoltes, et les transforme rapidement en outil de gestion de ce qu’elle combattaient.
Les Etats privatisés sont peuplés de politiciens à responsabilité limitée.
Quoi de plus normal, que constater que les Gentils Organisateurs du Club Démocratique, bénéficient de la même justice corporatiste que leurs commettants économiques ?