Le blog de Rocafortis

En 1971, une économie américaine aux abois a fait au reste du monde un paquet-cadeau destructeur : la dérégulation financière. Pour Nixon, rendre le monde plus déséquilibré était le bon choix au bon moment. Le reste du monde, noyé sous les dollars du déficit américain, n’a pas osé réagir et a concédé aux USA un privilège permanent. Aujourd’hui, Trump tente le même pari avec les droits d’entrée.

Une catastrophe humanitaire d'une ampleur impensable se déroule en Palestine, menaçant la stabilité régionale - et elle se poursuit avec le soutien total et inconvenant des États-Unis et de l'UE. C’est l’indication d'une crise qui n'est pas seulement démocratique, mais civilisationnelle, dans laquelle l'Occident tout entier plonge (semble-t-il en inconscience).

Des dirigeants européens délirants ont poussé l'Ukraine à la défaite et font maintenant de leur mieux pour empêcher la paix. La « coalition des volontaires » à Paris la semaine dernière s’est félicitée d'avoir réintégré l'Europe dans le processus de paix. En pratique, ils ont tout fait pour le faire capoter et veulent rendre impossible un processus de paix qu'elles n'ont pas voulu.

Ce qui nous arrive vient de loin et va nous emmener plus loin encore. Il est plus que jamais nécessaire de mobiliser le vrai savoir, celui qui reste à travers le temps, pour comprendre l’ampleur du danger. Hobbes, Machiavel, Luxembourg sont nos amis. Leurs vérités ne nous sauverons sans doute pas mais encore moins l’immense décervelage qui sévit partout.

Depuis Platon on ne peut se dissimuler que les peuples préfèrent toujours une autocratie à une démocratie corrompue. Il est donc vain pour nos systèmes plouto-liberaux de vouloir remédier à la crise de la démocratie en en restreignant le champ afin de protéger l'ordre démocratique lui-même. C‘est pourtant ce à quoi nous assistons aujourd’hui.

Depuis Platon on ne peut se dissimuler que les peuples préfèrent toujours une autocratie à une démocratie corrompue. Il est donc vain pour nos systèmes plouto-liberaux de vouloir remédier à la crise de la démocratie en en restreignant le champ afin de protéger l'ordre démocratique lui-même. C‘est pourtant ce à quoi nous assistons aujourd’hui.

Depuis Platon on ne peut se dissimuler que les peuples préfèrent toujours une autocratie à une démocratie corrompue. Il est donc vain pour nos systèmes plouto-liberaux de vouloir remédier à la crise de la démocratie en en restreignant le champ afin de protéger l'ordre démocratique lui-même. C‘est pourtant ce à quoi nous assistons aujourd’hui.

Une nouvelle équation anime le gouvernement américain et, par conséquent, l’ensemble de la géopolitique mondiale : Trump a saisi la faiblesse de la position des USA qui a suivi l’événement du 11 septembre et l’adoption du programme néo-con de suprématie globale. Il agit en conséquence. En Europe, on ne perçoit pour l’heure que des cris de volailles apeurées dans un poulailler. Note de Rocafortis.

La guerre interne émergente en Israël n’est pas une simple dispute sur l’usurpation du pouvoir exécutif. C’est un profond débat idéologique sur l'avenir et le caractère de l'État d'Israël. Sera-t-il un État messianique, conforme à la Halakha et obéissant à la Révélation ? Ou, au contraire, un « État » démocratique, libéral et largement laïc. Israël se déchire sur le ce débat.

Une stratégie de sécurité digne de ce nom devrait inclure des efforts politiques et diplomatiques : suivis d’un mécanisme de consultation de crise qui devrait être le début d’une nouvelle architecture de sécurité européenne composée de régimes réciproques de contrôle des armements, de renforcement de la confiance et de désarmement éventuel.