Dessiner sur les mursEt/ouDessiner sur les motsA(p)/prendre un peu d[e l]’azurPour plonger dans l’échoProlonger l’échoCohérence de sa propre souffranceE-car-te-lée
Le temps qui manqueCommence à se compterEn annéesLumières qui se trahissentD'autoportraits oxymoriquesEt vomissent leur fangeEn satanées prièresPour que l’égo centré sur vos futurs manuels d’histoireNe les oublie pasA l’index ou note de bas de page (à suivre sur http://www.mediapart.frhttp://blogs.mediapart.fr/edition/atelier-d-ecritures…)
De chouettes décapitées en simulacres d’étoilesL’homme en joue sur frettes en tête de listePour taquiner la flamme soufflée d’absence de rimesEn français si possible, C’est déjà ça de gagné,En vain tant d’étoiles s’entêtent
Circulaire tiédeur enrouée, ton écorcePrend la tangenteEssoufflée sur ton front comme pour falsifier un messagePesant taquet de syllabes en mal d’engeanceArmée de ses reliques dénonçant en chroniques infidèlesL’infernale ascendance de leurs déliresQui croient l’avoir de leurs fausses notesFosses foules qui filent à l’anglaiseEt pis font semblant d’être vides en dérapant comme çaSur l’erreur de tes vocablesFausses foules disciplinées recto-verso l’instant d’un ghetto fictionnelOu provision d’une révolution sans essenceA verser sur les rootsCheck point
Ennui d’ennemisJ’externalise ma peurAu journal de vingt heuresQui balise sa race en masseA coups de tests ADNDes chefs-d’œuvre de l’ultra violenceAu bioéthanolSans incidenceSur la bonne conscience
empreintes digitales, génétiques et génitalessur ton passeport encrédans ton entre pas à pas – pays entré –aujourd’hui ancrédans l’union des naufragés aphones
Brique rouge, brique noire, brique blancheQuelle pierre, prière en croix, plutôt en pointillés de couleursCarrefour naïade imprimé par hasardQuel aveu pour choisir le sens
Hémoglobine sur le pavé et scoop pour fait d’hiver,Versus canicule en été, la cigale en cravate se fend la gueuleQuand s’y glacent les bannières des quelques fourmisQui font semblant d’y croire encore…