Avis aux mères, aux pères, aux tantes, aux oncles, aux chefs d’entreprise, à nos représentants politiques, aux collègues et à tous les autres. Le confinement prendra fin le 1er décembre, ou un peu après, et tout laisse à penser que l’on finira par trouver un traitement ou un vaccin contre le virus. Néanmoins, ce qui angoisse les jeunes, ce n’est pas le confinement mais l’absence de perspective.
Que ce soit le manque de sens, un trop-plein d’activités, la sensation de n’être que le rouage d’une machine, le stress ou l’ennui complet, le constat est clair : nous sommes nombreux à être malades de notre travail...
Les ouvriers ont déjà été pressés comme des citrons, mais qu'en est-il des cadres ? Ne serait-ce pas là que les entreprises pourraient faire des économies? Ça tombe bien, c'est justement toute l'ambition des plateformes de contractualisation de freelances ! Mais si la machine venait à s'emballer, ça pourrait bien mal terminer !
Mais comment peut-on justifier le fait de prendre dans les APL des étudiants ou encore de taper dans CSG de ma grand-mère pour faire baisser l'ISF par exemple ? Eureka ! Le principe du ruissellement ! Jupiter vous explique tout. Les copains d'abord !
La naïve petite fille que j’étais ne pouvait que constater l’ordre naturel des choses que ce soit en regardant qui conduisait toujours la voiture, en m’apercevant à qui il manquait toujours de la crème fleurette dans les publicités... Bref, il semblait que dans mon monde les hommes occupaient les positions de pouvoir et d’autorité.
Un des piliers de ces entreprises agiles est leur mode de prise de décision qui permet une fluidité sans pareil dans leurs organisations. Finis les barrières hiérarchiques et les comités qui ne cessent de rallonger les délais dans les entreprises traditionnelles. Quelle innovation managériale commune ont ces entreprises pas comme les autres ?
Dans « Petite Poucette », Michel Serres, professeur et membre de l’académie française, décrit le monde d’aujourd’hui, le compare à hier et tente humblement de dessiner le demain. Selon lui, la digitalisation de la société représente « la troisième révolution anthropologique majeure ».