Le texte qui suit, publié sur le site de l'association réseau européen #enTrain, constitue une position de principe sur le sujet tant de fois débattu de la priorité à donner au TGV sur les trains classiques.
En ce mois de décembre, la presse s’est largement fait l’écho du lancement d’un train de jour qui relie Paris et Berlin en huit heures de bout en bout, sans changement. Mes réflexions à ce sujet.
Deux conceptions de l’accès au train s’opposent en Europe : une dite de train ouvert, accessible sans réservation, suivie notamment dans les pays germanophones, et l’autre dite de train fermé, où l’accès aux trains de grandes lignes est soumis à l’obligation de réserver sa place, suivie notamment en Espagne et en Italie.
Le 14 février dernier, j'ai donné une conférence sur le sujet des projets de RER métropolitains en général et celui de Lille en particulier. Ce billet reprend l'essentiel du propos tenu.
Le 31 mars, la Roumanie et la Bulgarie ont fait leur entrée dans l'Espace Schengen, mais uniquement par la voie des mers et des airs. Le train n'est donc pas concerné.
Les comportements de mobilité touristique effrénée d'avant le covid reviennent au galop, et cela offense mon idéal de mobilité sociale, socialiste et durable.