L'usage des axes routiers formate notre univers mental même à la campagne. Un pas de côté est possible et nécessaire.

Pourquoi vouloir acquérir des richesses illimitées est-il absurde et dangereux pour autrui dans une vie qui elle est limitée.

Dans une région proche interstitielle entre Aragon et Catalogne, les villages abandonnés abondent. Quel profit pourrait-on tirer de nos jours de ces espaces agricoles laissés en friche ?

De l'effet de la croissance d'une métropole sur la vie quotidienne de la campagne environnante.

En dépit d'un paysage toujours peu diversifié, certaines zones de grandes cultures se convertissent au bio avec les limites liées au système de la monoculture. Le reportage a été trouvé sur le blog "et demain" de Philips Michel

Une vision fugitive de l'espace périphérique de Paris fait prendre conscience à l'auteur que les pourtours de la capitale, où vivent bien des personnes contre leur gré, ressemblent à une zone invivable. Un contraste surgit alors entre le cadre de vie du paysan et celui des lieux où il écoule ses produits.

Les centres des petites villes d'Aquitaine se meurent, sont morts, ils ont laissé progressivement la place à des zones commerciales recouvertes de parkings. Outre la consommation abusive de terres agricoles, ce nouveau modèle de ville est absurde, délaissant des centre-villes historiques, piétonniers mais sans piétons et Bordeaux qui devient l'unique centre urbain dynamique.