Oscillant entre Zorro et Pépé le Moko, le chevalier noir Bordella s'apprête à empoigner les rênes du pouvoir dans une France désabusée, divisée et traumatisée par les politiciens incompétents et véreux de la bourgeoisie...
L'écoutant ce matin sur France Inter dans une véritable exhortation salutaire, je n'ai pu m'empêcher de penser que ce flamboyant discours était une belle résurgence des appels historiques de Danton, de Flourens et de Jaurès...
Cette résurgence du "Chagrin et la pitié" en 2024 était prévisible et j'en ai annoncé la couleur brune dans de multiples billets de ce blog qui n'ont jamais été portés à la connaissance des abonnés...
C'était il y a quatre-vingt-douze ans, au bon vieux temps de la république allemande dite "république de Weimar" qui se cicatrisait à peine des horreurs de "la grande guerre", les élections envoyaient au Parlement une majorité de députés se réclamant du national-socialisme...
Dans l'imbroglio anxiogène qui annonce l'intolérable réalité d'une victoire électorale de l'extrême-droite, seule l'union républicaine serait en mesure
d'endiguer cette marée brune...
Mélenchon à qui nous devons tous les sursauts de la gauche depuis le calamiteux quinquennat de François Hollande est-il en train de plomber les chances électorales du nouveau Front populaire ?
Elle était dans la cuisine. Elle vient maintenant s'installer à votre table et déplie sa serviette. Mais elle refuse le premier plat qu'elle ne trouve pas assez copieux...
Pour répondre à cette question, il suffit de se reporter à mon film "Dreyfus ou l'intolérable vérité", qui vient d'être réédité en DVD après sa restauration...