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Le premier podcast de violence du travail est accessible.
Incarnés par la voix d’une lectrice, les textes ne résonnent pas de la même manière.
L’émotion s’entend,se ressent, se partage.
On vous laisse découvrir ce nouveau format de témoignages lus.
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« Je repense à toi ce matin en passant devant le restaurant où l’on a déjeuné, ça me met dans tous mes états, je t’embrasse. », en référence au restaurant où on a déjeuner avec un collègue après une présentation pour gagner un appel d’offre alors que nous étions en déplacement.
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« Je découvre la terreur subie depuis 11 mois par le service. Les traces creusées comme des sillons dans la chair des autres collègues. Les critiques intempestives, les mots durs qui giclent à chaque bilatérale, les changements d’humeur, et le passé, le passif... »
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J’ai eu très vite l’impression de ne pas en faire assez et que les autres faisaient beaucoup plus que moi, ce qui est justifiable car ils travaillaient sur le projet depuis plusieurs mois. Je dois dire que mes premiers symptômes étaient la perte de confiance, je m’en voulais de les laisser faire le gros du projet.
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Je travaille dans l’informatique dans une des grandes banques françaises, en « fixe » depuis 2 ans.
Mon chef, Amédée*, est depuis 30 ans dans l’entreprise, et depuis 10 ans dans son poste.
Ça se passe bien avec lui, jusqu’à ce que…
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Je suis professeure des écoles depuis 26 ans. En région parisienne depuis 2003. J’ai ressenti les premières violences dès le début de carrière, quartier sensible, mais non ZEP. Sans moyen.
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Je suis, j’étais AVS, Auxiliaire de Vie Scolaire (ou Aesh). Le premier jour de la rentrée, j'ose refuser les ordres de l’inspection académique. Non, je n’accompagnerais pas 2 élèves en très grande difficulté scolaire -qui n’écrivent pas ni l’un ni l’autre- en même temps.
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2ème, 3ème vague, 4ème… l’épidémie se poursuit, les travailleurs s’adaptent, changent, parfois ne peuvent plus travailler. Les plans sociaux se multiplient, les précaires n’ont pas ou plus droit au chômage. La pandémie a accentué la dégradation des conditions d’emploi et de travail, quel que soit votre métier, votre activité pour témoigner c'est à l’adresse suivante : contact@violencedutravail.com
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Je suis officier dans l’administration pénitentiaire. (...) Très vite, j’ai constaté que le nouveau directeur avait un management toxique et pervers ; il aimait humilier les cadres en réunion et les faire craquer.
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Je suis professeur de lettres classiques depuis 23 ans, en poste dans cet établissement depuis 6 ans. Le proviseur soutient le latin et le grec, que j’enseigne, et je m’entends bien avec mes collègues. Pourtant j’ai été confrontée cette année à une situation ubuesque. Je vous souhaite de pouffer de rire en lisant le récit, parce que l’absurde est un des ressorts du comique.