Fabien Roussel, secrétaire national du PCF, a abordé la question d'une nécessaire candidature communiste aux prochaines élections présidentielles. On n'y est pas et les communistes feront leur choix selon leur pratique démocratique désormais actée. Les polémiques sur la présence ou non des communistes dans telle ou telle élection ne font que masquer la nécessité de clarifier les choses.
Chaque pays européen vit sous le joug d’un marché aux voleurs qui demande à chaque peuple un sacrifice en fonction de données inégalitaires fondées sur le moins disant. Pour exemple, les Grecs sont les éternels punis et ceux qui, en Allemagne notamment, on la chance d’arriver jusqu’à la retraite se retrouvent souvent dépouillés.
La mémoire d’une expérience unique au monde, une révolution anarchosyndicaliste et anarchiste en grandeur réelle à Barcelone, est actuellement offerte gratuitement aux archives photographiques de Barcelone, près de la Bourse du travail.
L'échec de la COP 25 à Madrid, qui en dit long sur l'urgence d'une mobilisation des peuples contre la dégradation environnementale et la mobilisation du mouvement social français qui révèle une aspiration à remettre en cause le néolibarisme à partir de la réforme des retraites que veut imposer le gouvernement ont-ils un point commun opportun ?. On pourrait penser que non, mais en fait c'est oui.
L'arrivée au pouvoir d'Emmanuel Macron a réveillé le mouvement social comme une bombe à retardement. Tous les scénarios sont permis, y compris celui d'une révolution citoyenne inédite.
L'Espagne est rongée par un conflit qui bloque son fonctionnement démocratique. Il faut que la gauche saisisse l'opportunité d'un règlement pour empêcher la droite de revenir au pouvoir. C'est aujourd'hui possible avec ceux qui, parmi les indépendantistes catalans, refusent de pratiquer la politique du pire.