Par Alexis DAYON
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Les enquêtes d'opinion se succèdent et annoncent à Emmanuel Macron une large réélection. De moins en moins large ceci dit, à mesure que sa non-campagne révèle combien cet homme craint d'être confronté à son bilan. Mais réélection tout de même, et rien que cela devrait nous faire tomber de nos chaises. Que s'est-il passé ? As-tu déjà oublié ce qu'il nous a fait ?
Par Alexis DAYON
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Depuis quelques jours, tu as donné le ton. Un collègue a été atrocement assassiné (comme lui, j'enseigne l'EMC, et Vendredi je me suis vu à sa place). Toi, il n'a pas fallu une heure pour que tu sois sur tous les réseaux, toutes les ondes, à scander : toi, tu es brave ! Toi, tu nommes l'ennemi ! Moi, tu m'as tamponné un railleur "padamalgam", et depuis, je suis le lâche. Mais le lâche, c'est toi.
Par Alexis DAYON
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Il y a un an, je partageais sur Facebook ma consternation à l'issue d'un conseil de classe de deuxième trimestre, que les "fiches avenir" de Parcoursup transformaient en concours de jugements managériaux à l'emporte-pièce. Et semble-t-il, le spectacle que je décrivais avait ému du monde. Un an a passé, les conseils de classe de deuxième trimestre ont eu lieu à nouveau. Ma consternation empire.
Par Alexis DAYON
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"Déceptif" plutôt que "décevant", "participer de" plutôt que "participer à", "amoral" plutôt que "immoral"... ce qu'il y a d'irritant dans ces fautes d'usage, ce n'est pas tant le sens des mots sacrifié à de petites modes, que le fait que ces fautes procèdent d'une volonté délibérée d'alambiquer inutilement le langage pour impressionner – ce qui est avant tout une expression symbolique du pouvoir.