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Le blog de anouka

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Si je suis triste ? Oui. Révoltée, écoeurée aussi, parfois, oui...
Le déni, poison pour celui ou celle qui le pratique, pour celui ou celle qui le subit. -
Oui, je sais… Pauvre formule utilisée comme un soupir
Ça brûle, de partout, ça inonde, ça tremble, ça guerroie, ça mensonge, ça nie, ça oublie, ça fustige… L’on disait, un « bordel monstre ». L’on devrait dire, un « bordel monde ». Et nous y sommes. -
Je me permets... Puisque les mots sont encore là.
Ce sera, sans aucun doute, m'étais-je dit. Mon dernier billet. Ma dernière envie d’écrire… Pour m’épargner cette désagréable sensation de jeter au large, au vent, les mots… Tout en écoutant, pourtant, ceux des autres. -
On s’arrête, on réfléchit…
Nous dit le monde diplomatique. Souhait vain. L’arrêt ? Oui. La réflexion ? Non. Pas le temps. Le temps, le temps… file sans nous et avec nous. -
Nous voulons et nous ne voulons pas
Le je contre le nous. La peur du nous. Qui peut manger les je. La peur du je. Si vulnérable en solitude. Imposée. Subie. -
Je ne sais pas ce qu’il faut faire mais ce que je sais…
La puissance médiatique des impuissants ? Contrôlables et contrôlés. Elle est. Cette puissance. Nocive ou défenderesse. Pourtant j’avoue humblement. Que je ne comprends pas et ne veux pas comprendre cette démission devant l’urgence d’intégrité. -
La parole libre, la parole qui libère…
Qui libère qui, quoi, de qui, de quoi ? -
Au Pilori ! Mais oui. La belle, la femme, l’enfant. La comédienne.
Brûlons la sorcière. De délire en délire… A ce point ? Oui. De quoi s’inquiéter… -
La sorcière, c’était moi…
De porte en porte… Ouvertes, fermées, claquées. Petite sorcière mal aimée, petite sorcière bien aimée. Moi seule, le savais.