Quelques billets, quelques notes, pour partager mes interrogations, mes convictions et mes coups de sympathie, d'empathie ou d'indignation ! [sous le regard interrogateur de Mafalda sur le "monde", selon1…
Quino!] Ici l'image d'O Ardina à Porto, vendeur de journaux à la criée très populaire dans les villes de Lisbonne et Porto dans les années 50/60!
Ils sont beaux. Chacun à sa manière vit en marge des circuits classiques et leur rencontre est une histoire passionnée et joyeuse. Élise tient un salon de tatouage, elle même exposant un corps-catalogue. Lui, Didier, un peu ours vit dans une caravane à côté d'une vieille maison à restaurer, entouré de poules et d'un cheval. Passionné de musique country, d'une Amérique qu'il rêve, sa voiture est un Pick-up Ford et joue du banjo dans une bande de bluegrass style Bill Monroe. Ses potes, musiciens, forment une belle équipe inspirée et fidèle en amitié.
Par ARTHUR PORTO
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Le dernier Dupontel c'est une histoire sur la justice ou plutôt sur les personnes qui dictent la justice, qui appliquent le droit, plus exactement sur une Juge d'Instruction. Ariane Felder est toute dévouée à son office, ayant exclue les mâles de son intimité, une célibataire endurcie qui se découvre enceinte de cinq mois, "sans le savoir" et qui apprend que le père, d'après les tests de paternité, est un dangereux criminel.
Par ARTHUR PORTO
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La jeunesse comme priorité nationale, c'était dans le discours de campagne de l'actuel Président, notamment la formation pour tous ceux qui quittent le système scolaire sans diplôme ou sans qualification. Deux exemples dans des établissements préparant à des formations techniques, montrent la difficulté et le chemin à parcourir pour que «les jeunes vivent mieux en 2017 qu'en 2012» (discours du candidat en janvier 2012).
Par ARTHUR PORTO
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C'est l'été, nous cherchons le plein air, le soleil, la plage, la montagne, la randonnée mais un danger nous est annoncé … les animaux qui vivent naturellement dans nos lieux de villégiature *le phoque, le loup, l'ours*. Outre les risques de manifestations des autochtones, les professionnels en colère! En plus, les gens du voyage nous empoisonnent la circulation avec «leurs belles et grosses caravanes», comme dirait M.Estrosi.
Henri et RosetteC'est un café restau de quartier, où viennent les voisins et les travailleurs du coin. Petit café le matin, déjeuner à midi et une bière le soir. Quelque part en Belgique, du côté de Charleroi, pas bien joyeux. La Cantina s'ouvre, s'anime, grâce à la gaîté de la belle patronne Rita (Lio) et à la cuisine du patron, Henri (Pippo Delbono), jusqu'au jour où la patronne décède et leur fille suggère d'embaucher une «papillon» pour faire le service en salle.
La France n'a plus d'argent, elle n'a que du fric, dit un des personnages dans la fille du 14 juillet,film d'Antonin Peretjatko présenté à la quinzaine de réalisateurs au Festival de Cannes. Et la fille du défilé (belle interprétation de Vimala Pons) vend ce jour là le journal la Commune, à la criée. Ainsi que des accessoires en harmonie avec la commémoration, une petite guillotine par exemple! Elle montre la recette à sa copine, deux pièces bien dorées de zéro euro!
Le cinéma ne change pas le monde mais on sait bien qu'il peut aider à mieux le connaître, mieux le comprendre, mieux partager le regard et la reconnaissance de l'Autre. La quinzaine des réalisateurs du festival de Cannes (version Forum des images pendant le week-end...) nous donne toujours cette opportunité. Je laisse ici un commentaire sur deux des films Ilo ilo et Le Géant égoïste.
Le Canard Enchaîné, c'est connu, ne rigole pas! Quand il dit que l'autre a dit ce qu'il a dit, c'est sûr que l'autre a bien dit ce que le Canard écrit. Et on tombe de haut en apprenant que le Président élu en mai 2012 estime «qu'il y va du prestige de la France», concernant Mme Lagarde et et qu'il ne faut pas l'enfoncer, à propos de ses décisions sur l'arbitrage en faveur de Tapie.
«Il était une fois un petit enfant qui vivait dans un petit pays tourné vers le grand océan. On disait que dans ce pays, des grands hommes et des hommes de toutes les tailles s'étaient embarqués sur la mer à la recherche d'autres pays et d'autres hommes. Mais ceci s'est déroulé il y a si longtemps que le petit enfant dont nous parlons n'avait jamais baigné ses pieds dans la mer...» C'est ainsi qu'Igor Gandra, commence l'histoire de Baltazar, dans son spectacle de marionnettes à la biennale internationale des arts de la marionnette.