Quelques billets, quelques notes, pour partager mes interrogations, mes convictions et mes coups de sympathie, d'empathie ou d'indignation ! [sous le regard interrogateur de Mafalda sur le "monde", selon1…
Quino!] Ici l'image d'O Ardina à Porto, vendeur de journaux à la criée très populaire dans les villes de Lisbonne et Porto dans les années 50/60!
Après dix-neuf mois de Hollandisme à la tête de l’État, et avec tous les pouvoirs (Présidence, exécutif, Assemblée, Sénat, majorité des Conseils Généraux, des Régions...) nous arrivons au terme du cycle 2012-2013. Presque tout sur quoi nous nous sommes mobilisés pour le porter là où il est, n'a pas fait l'objet des changements indispensables pour redresser les effets de dix ans de Sarkozysme.
Sorti en salle ce mercredi, ne le ratez pas! C'est l'adaptation très libre d'un conte d'Oscar Wilde que la jeune réalisatrice anglaise Clio Barnard nous propose. «Le géant égoïste possédait un magnifique jardin. Pendant son absence, les enfants voisins profitaient de ce luxuriant espace. A son retour, le géant a décidé d'empêcher les enfants d'y pénétrer et a construit un mur pour les empêcher d'y accéder. Mais le mur l'a tellement enfermé que l'hiver s'y est installé et alors que les saisons se déroulait hors-mur, le magnifique jardin était toujours couvert de neige, comme un jardin en hiver».
Par ARTHUR PORTO
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Deux romans, deux écrivains au théâtre. Gros-Câlin d'Emile Ajar et Ravel de Jean Echenoz. Histoire de prolonger ainsi le plaisir de la lecture et de découvrir deux représentations théâtrales, créatives nous captivant dans l'univers de ces romanciers, mis en scène par Anne-Marie Lazarini et Bérangère Bonvoisin. Et tout ceci dans le théâtre privé!
Par ARTHUR PORTO
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Ce qui est terrible dans cette terre, c'est que tout le monde a ses raisons, faisait dire Jean Renoir dans son film la Règle du jeu. Le pire, si on peut l'exprimer ainsi, c'est qu'au détour d'un questionnement sur leur statut et d'une décision qui bouscule des près-carrés, les raisons des enseignants dits de l'élite se fondent dans la masse contestataire des corporations.
Mise à plat ou mise au pas?Un an et demi après l'élection de l'actuel Président, le premier-ministre, dans la tourmente, vient nous parler de la mise à plat fiscale, après le discours sur la mise à plat des retraites pendant que le ministre de l'éducation veut la mise à plat des classes préparatoires et cet été, l’inénarrable ministre de l'économie nous a parlé de la mise à la plat du raz-le-bol!
Donner la parole à ceux qui ne la prennent jamais, on pourrait peut-être le résumer de cette façon par les villages de Peter Handke qui fait taire celui qui possède la parole tout le temps, l'écrivain qui, au fur et à mesure du déroulement du jeu scénique, se tait, déambulant, presque perdu, sur la scène. C'est réducteur de le dire ainsi mais c'est le premier constat qu'on peut faire de ce beau texte théâtral et poétique, que je considère de grande qualité, profond, questionnant, exigeant, conviant le spectateur (et le lecteur car, plus que d'autres c'est aussi un texte qui s'offre au lecteur) à suivre cette confrontation entre frères et sœur, au moment d'un héritage qui semblait conclut. L'intendante et les ouvriers
C'est à l'occasion de la 7ème édition du Ciné Regards Africains, – Films en Festival En Val de Bièvre (Val de Marne) que deux films Angolais ont été présentés le 17 novembre. Ce cinéma rare, qui ne trouve pas de distributeur même quand il est de qualité et parfois primé.
Trois adolescents, dans un bidonville du Guatemala se préparent à partir en secret. Juan coud dans son pantalon son capital, 100 pesos, Sara se coupe les cheveux et bande ses seins pour ressembler à un garçon, Samuel arrête le tri dans la montagne de déchets, où il gagne sa vie. C'est ainsi qui commence le film Rêves d'or (La jaula de oro) de Diego Quemada-Diez.
Dans le premier livre de Nicolas Clément, Sauf les fleurs, (éditions Buchet-Castel) c'est Marthe qui nous raconte l'histoire de sa famille. Elle note dans son carnet, à l'intention de Léonce, son petit-frère, comment elle voit ce qu'ils vivent, dans une ferme isolée, avec leur mère Andrée et leur père Paul.