avalverde

Rédacteur pour différents médias, chef d'entreprise

TOURS - France

Sa biographie
Rédacteur et éditeur indépendant, je pilote plusieurs médias en ligne autour de sujets variés — société, culture, technologie, environnement, sport. Passionné par l'écriture et les récits qui font sens, j’aime autant creuser les faits que les angles, confronter les idées que mettre en forme. Toujours1… avide d’apprendre, je cherche à élargir mes horizons, à croiser les regards et à nourrir ma culture à travers chaque projet éditorial que je mène. Je crois aux médias exigeants, aux formats longs, à la nuance, et aux mots qui font mouche.
Son blog
4 abonnés Les billets d'Arthur Valverde

Ses billets de blog

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  • Caroline, directrice suicidée, victime d’un système qu’elle servait

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    Caroline Grandjean s’est suicidée le jour de la rentrée. Harcelée par sa hiérarchie, ignorée par l’Éducation nationale, elle est morte dans le silence institutionnel. Ce n’est pas un drame isolé, c’est un symptôme. Et tant que les responsables seront couverts, d’autres suivront.

  • Bayrou, le dernier manager du désastre

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    Alors que la France vacille, François Bayrou joue les pères la morale. Il brandit la dette comme une menace, les économies comme un remède, et l'effort comme un devoir sacré. Mais derrière ses sermons sur la "responsabilité", se cache un vieux monde épuisé, incapable de penser autrement que par le sacrifice des plus faibles.

  • Mort de Jean Pormanove : le crime d’une société qui laisse faire

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    La mort de Jean Pormanove n’est pas un fait divers : c’est le symptôme d’une société qui tolère, finance et applaudit la cruauté. Un business de la violence s’est installé sous nos yeux, avec la complicité des plateformes, l’inaction des pouvoirs publics et la passivité d’un public devenu voyeur.

  • Pendant que l’eau manque, les lobbys arrosent

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    Pendant que les Français comptent leurs litres, l’État continue d’arroser les puissants. Agriculture industrielle, tourisme de luxe, industrie : les dérogations pleuvent, les méga-bassines se creusent, et les robinets se vident. Jusqu’à quand tolérer ce partage inégal d’une ressource vitale ?

  • Espoir sous anesthésie : ce que le réel inflige à nos illusions politiques

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    J’ai lu, avec attention et même une certaine tendresse, le billet intitulé « Et si tout n’était pas foutu ? ». Et j’aimerais croire, moi aussi, à cette France qui résiste par le bas. Mais à force de trop croire aux signaux faibles, on risque d’oublier la brutalité des rapports de force réels, et le prix du silence imposé aux vaincus.