Une fois de plus les US nous font bien rire avec cette ruée de Fayots qui affluent au MaR-I-GO.
Tssst Tssst ne les moquons pas, nous avons les mêmes ! et comme le disait A. Pousse dans "faut pas prendre les enfants du bon dieu pour des canards sauvages" : la connerie à s'point-là ça dvient gênant
Nous sommes dans les années 70 et l'on retrouve Eilis, l'héroïne de Brooklyn du même auteur. Elle est mariée avec Tony a deux enfants et une belle-famille envahissante. Tous vivent dans la même rue en cul de sac. Un matin elle ouvre à un inconnu et là, son monde s'écroule ....
Une vague bien répressive déferle un peu partout dans le monde en ce moment.
Bien évidemment certains n'ont pas raté la marche de cette croisade anti tout, n'aimant pas la différence qui leur fait peur.
Avouez que ma superficialité, mes vantardises vous plaisent ... d'autant plus que (presque) tout est vrai. Alors pour vous remercier de m'envier, de m'admirer, de vouloir être Moi, hommes inclus, voici une nouvelle petite tranche de ma tronche (de ma superbe vie).
Tout comme The Mamas and The Papas, The Carpenters font partie de ces artistes dont on ne se lasse jamais. Avec leurs chansons pop sans prétention, leur look un brin suranné, Karen et Richard Carpenter étaient là pour divertir et seulement divertir. Ce qu'ils ont parfaitement fait et réussi.
Afin que certaines personnes ici comprennent une fois pour toutes, qu'un espace personnel n'est pas un stand de foire à neuneu sur lequel chacun peut poster sa propagande ou encore ses commentaires douteux quand il est spécifié "no comment" .