Sous pression, le gouvernement Barnier cède à l'idéologie du RN en sacrifiant l’AME pour calmer la censure. Mais l'extrême-droite, tout en jubilant des concessions, votera tout de même la chute du gouvernement. La République vacille, prise dans une stratégie du chaos. La tragédie est en trois actes : marchandages, concessions et trahisons.
En France, l’inventaire à la Prévert des faits divers s’enchaîne avec la frénésie d’une galerie de tabloïds, alimentant un tourbillon de réactions rapides et de réformes superficielles. Incendies de voitures, fusillades et agressions filmées deviennent des prétextes pour des conclusions hâtives et des mesures répressives, occultant les véritables enjeux sociaux.
Dans la douce France d’aujourd’hui, où la République a toujours revendiqué le débat ouvert et la pluralité des opinions, voilà qu’un mot poussiéreux refait surface, chargée de la lourde empreinte du régime de Vichy et des heures sombres de notre histoire : "Anti-France".
Alors que le Premier Ministre vient d’annoncer la mise en application à la fin de l'année une nouvelle réforme de l’assurance-chômage, les critiques fusent de toute parts. Dans un contexte où le mauvais fonctionnement de France Travail est pointé du doigt, nombreux sont ceux qui y voient une énième attaque visant à réduire les droits des bénéficiaires.
Un nouveau cap a été franchi avec le débat finalement accepté par le Premier ministre, Gabriel Attal que Jordan Bardella, président et tête de liste du Rassemblement National pour les élections européennes, réclamait depuis de longues semaines.
Le Paris de Michèle Audin n'est pas simplement une ville ; c'est un organisme vivant où chaque rue, chaque boulevard, chaque pont est imprégné d'histoire et de mémoire. Dans son œuvre l'historienne nous guide dans Paris au fil du Boulevard Voltaire puis des Ponts, dévoilant des strates invisibles qui lient le passé au présent.
Au cœur des montagnes piémontaises, où les cieux embrassent la terre dans une étreinte infinie, réside un récit intemporel qui transcende les frontières du temps et de l'espace. « La Guerre sur les Collines » de Beppe Fenoglio est une plongée poignante dans l'âme humaine, dévoilant les cicatrices indélébiles laissées par la guerre et l'indomptable résilience qui habite le cœur des hommes.
Malgré des époques différentes, leurs discours ont marqué le débat publique en évoquant des pseudos enjeux culturels et politiques. À travers quelques citations, examinons de plus près les similitudes entre ces deux journalistes dont la plume à servi et sert toujours des idées sombres.
Embarquez pour une odyssée cinématographique, loin des tumultes du dernier biopic sur Napoléon. « Avril et le monde truqué » tisse une fresque imaginative et dystopique. Entre mystères, périls et les sombres intrigues d'un Empire, ce bijou d'animation offre une alternative captivante aux récits conventionnels de l'empire napoléonien.