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Je m'indigne...
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Au lieu de s’interroger sur la place de la religion, ouvrons un débat sur l’évolution de nos sociétés et de leurs aspirations!
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Election en Irlande : les urnes se prononcent contre le programme de sauvetage du FMI et l’EU
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Vers une démocratie mondiale comme contrepouvoir à la mondialisation financière
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Démocratie ou capitalisme : est-ce un choix ?
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La drogue de la démocratie ou le virus de la liberté
Hier, Muammar Kadhafi a (enfin) trouvé l'explication des revendications du peuple Libyen. Selon, le «guide» de la révolution, les jeunes, (et moins jeunes) qui souhaitent changer de régime, sont sous l'emprise de drogue et manipulé par le diable «Ben Laden». Toujours selon le «guide», il existerait une nouvelle drogue qui agit sur les aspirations des peuples à améliorer leurs conditions, à distribuer les richesses produites par leur pays, et à souhaiter plus de libertés. -
Le nouveau modèle économique devra tenir compte de la satiété
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La théorie du papillon : agissons maintenant avant que les révoltes actuelles se traduisent par un chaos total!
Chacun d'entre nous connait cette célèbre question « Est-ce que les battements d'ailes d'un papillon au Brésil peut être à l'origine d'une Tornade au Texas ? ». Cette interrogation introduit la théorie mathématique du chaos. -
Messieurs les dirigeants politiques arabes croyez-vous en Dieu et dans sa parole?
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Démonopolisation des bourses: une mauvaise solution pour rendre les marchés financiers plus sûrs
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Le Maroc a rendez-vous avec l'histoire le 20 février 2011!
« On peut tromper une partie du peuple tout le temps et le peuple une partie du temps, mais on ne peut tromper tout le monde tout le temps » disait Abraham Lincoln ! Le Maroc a rendez-vous avec son histoire le 20 février 2011. L'appel sur Facebook pour une mobilisation générale pour plus de démocratie, plus de liberté et un partage des richesses, pourrait être la continuité de la révolte du Rif, la suite logique du socialisme humaniste de Mehdi Ben Barka, de Bendjelloun, et de tous ces hommes et toutes ces femmes anonymes morts pour leurs idées pendant les années de plomb sous Hassan II.