Je viens d'achever la lecture de Midnight's Children de Salman Rushdie. J'avais acheté ce livre il y a près de deux ans chez un soldeur. N'ayant jamais rien lu de cet auteur, mais beaucoup entendu parler de lui à cause de la controverse autour des Versets sataniques, je souhaitais découvrir son oeuvre.
Publié il y a maintenant un an, Nemesis de Philip Roth est son trente-et-unième roman. Il s'agit de l'opus final de sa série de courts romans appelés « Nemeses », comprenant Everyman [Un homme] (2006), Indignation (2008) et The Humbling [Le Rabaissement] (2009), qui ont été tous les trois traduits en français aux éditions Gallimard. Nemesis a remporté le Man Booker International Prize (Grande-Bretagne) en 2011.
En 2008, Aravind Adiga, journaliste et romancier indien, avait reçu le Man Booker Prize (l'un des prix littéraires les plus prestigieux au Royaume-Uni) pour son premier livre : Le Tigre Blanc.
Ceci n'est pas une autobiographie. Ce n'est pas non plus un livre où l'auteur est à la recherche de ses parents, précise d'emblée ce dernier. Essai serait trop catégorique, tout comme mémoires. Rien à craindre de Julian Barnes est un subtil mélange de tout cela.
Tony Judt (1948-2010), historien britannique, fondateur et ancien directeur du Remarque Institute à la New York University, n'a eu de cesse d'affirmer son engagement politique au cours de sa carrière.
À l'heure où la lutte contre le réchauffement climatique est éclipsée par la crise financière, Solaire, le dernier roman de Ian McEwan, nous replonge dans la complexité du phénomène.