bernard crozel

architecte urbaniste auteur d'essais politiques

BRUNIQUEL occitanie - france

Sa biographie
architecte et militant écologiste membre de EELV a fait de l'aménagement du territoire à la DATAR a été directeur de maison de quartier a fait de l'aménagement urbain et rural a exercé en libéral pendant 32 ans se passionne toujours pour les économies d'énergies, la citoyenneté,l'économie circulaire1 et la transition écologique a publié chez l'Harmattan "Urbanité citoyenneté" et récemment "y a t il une Nation pour sauver l'Etat?"
Son blog
2 abonnés Le blog de bernard crozel
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  • changer notre rapport à l'eau, repenser notre gestion de l'eau

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    il ne sert plus à rien de pleurer à chaque inondation, de geindre à chaque incendie, de compatir avec les habitants privés d'eau. Mais tout d'abord il faut changer notre regard sur l'eau regarder ensemble le trop et le trop peu, pour inventer une gestion de l'eau adaptée au circonstances nouvelles sans perdre de temps.
  • A propos de la GPA, un débat à l'envers

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    Depuis que ce sigle est entré dans le débat public, je ressens un malaise à en débattre. Et puis, je m’aperçois que traîne, dans les arguments échangés un flot de stéréotypes, d’habitudes de pensées, de préjugés qui se percutent mal, tant les bases du débat sont biaisées par un retournement du sens des mots.
  • Changer notre rapport à l’eau, avant qu’il ne soit trop tard

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    Deux événements viennent de se percuter ces jours-ci.les inondations en Haute Marne, et la manifestation de la Rochelle contre les mégabassines. . Il faut se battre pour inverser la logique actuelle de gestion de l’eau, pour qu’elle apprenne enfin à retenir l’eau au lieu de l’évacuer.
  • L’ardente obligation de l’adaptation au climat, c’est maintenant

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    C’est maintenant que l’inaction climatique de nos dirigeants nous condamne à la double peine : d’un côté, maintenir la pression sociale pour tenter de rester dans la trajectoire du + 1.5°, mais de l’autre, réfléchir et inventer les solutions d’adaptation aux effets catastrophiques sur la santé publique du changement que nous subissons.
  • Le eux et le nous, au sujet de la représentativité

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    A voir et à écouter les maires de toutes sensibilités politiques, confrontés aux émeutes récentes, on sent un désarroi palpable, sensible presque charnel, tant l’incompréhension du phénomène qui les accable est grande