Le 1er juin 2015, juste après un incendie criminel, alors que ces bâtiments étaient protégés par le PLU de la commune, la Métairie Neuve de Sivens a été rasée illégalement par une bande organisée comprenant notamment le président-sénateur Carcenac, le procureur Dérens, le préfet du Tarn et la maire-conseiller départemental de la commune de Lisle-sur-Tarn. A ce jour, cette affaire n’est pas close.
Ancien président de la chambre criminelle de la cour de cassation, Didier Guérin est un membre éminent du Conseil supérieur de la magistrature. J’ai mis vertement, gravement et publiquement en cause Didier Guérin le 25 juin et le 2 juillet 2020. J’ai diffusé moi-même ces billets au ministère de la Justice et à diverses autorités.
Thierry Carcenac quitte le Sénat en ayant conservé jusqu’au bout ses fonctions à la commission des finances et au comité de déontologie alors que je l’ai mis en cause publiquement pour les délits caractérisés qu’il a commis à Sivens et qu’il s’est bien gardé de m’attaquer en diffamation ! Grandeur de notre République ?
Didier Guérin est un des plus hauts magistrats français, président de la chambre criminelle de la cour de cassation et membre du Conseil supérieur de la magistrature. Devant ce qui se passe dans l’affaire sans précédent que je dénonce sur ce blog, je reviens ici sur son cas.
J’ai montré sur ce blog comment le procureur d’Albi Claude Dérens avait été complice des délits commis par Thierry Carcenac à Sivens le 1er juin 2015 et comment il avait commis ensuite des délits qui lui sont personnels dans cette affaire. Je vais ici montrer comment le traitement de cette affaire de la Métairie Neuve relève d’un réflexe de caste que je crois sans précédent dans la magistrature
Le lundi 1er juin 2015, dès l’aube, la Métairie Neuve de Sivens, symbole de la résistance au barrage, était complètement rasée par Thierry Carcenac et ses comparses, préfet compris. C’était pour moi le début d’une affaire que je considère aujourd’hui comme un scandale juridico-politique sans précédent dans l’histoire de notre République comme je vais l’expliquer dans les articles qui vont suivre