Les trois principales motivations des hommes politiques : le pouvoir, l'argent et le sexe. Quand ils ont les deux premières ils cherchent la troisième,
coute que coute, partout. Y compris à Tours...
Il ya quelque chose de tragi-comique dans la « gestion cynégétique », plusieurs cas de figure, souvent plus dramatiques que drôles mais parfois plus drôles que dramatiques.
Emmanuel Macron aurait pu inspirer Balzac et trouver sa place dans les "Illusions perdues" dans la peau de Lucien de Rubempré, par exemple mais c'est en Bouvard et Pécuchet qu'il est le mieux, le roman inachevé de Flaubert.
Inachevé ? vous avez dit inachevé ?
Par Bruno Painvin
| 17 commentaires
| 11 recommandés
Pour faire le buzz il fait le buzz...au point d'oublier l'histoire et de tourner le dos au bon sens, aux évidences : Mélenchon est-il à la hauteur de la F.I ?
L'entarteur d'hier a cédé sa place à des gens peut-être moins drôles, sans doute plus agressifs, spécialistes de la gifle voire du coup de poing exclusivement réservés aux hommes et aux femmes politiques : régression ? dérive ?
Les sociétés les plus barbares et les plus "modernes" se parent des plumes du paon pour nous séduire, pour nous manipuler, pour nous attirer, l'aberration au sens psychanalytique du mot est institutionnalisée. Et ça marche !
L'instruction et les diplômes seraient un rempart contre la dépression et la perte d'estime de soi. L'ouvrier peu ou pas qualifié est donc potentiellement suicidaire. La connerie, elle, reste toujours du même côté et plus ça va moins ça s'arrange...