Par Bruno Painvin
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Après onze années passées ici, après 861 billets de blog publiés dans Le Club, j'ai décidé de prendre du recul dont je ne sais pas mesurer, aujourd'hui, la profondeur ni la durée. Pour celles et ceux que cela pourrait intéresser, je m'explique.
Troisième et dernier volet : après l'éloge de la lucidité en ces temps de connerie massive, après l'éloge de l'esprit critique en ces temps de connerie massive, vient celui de l'analyse de l'écosystème économique et politique de la connerie massive.
L'éloge de l'esprit critique est le second volet d'une série d'analyses qui en comportera trois et dont l'objectif, probablement trop ambitieux, est de lutter contre les mécanismes en jeu dans la propagation de la connerie, un phénomène de masse particulièrement inquiétant.
"Contre la connerie envahissante" s’efforce, depuis le 21 mars 2014 et avec une modestie toute relative, de manier l’humour, l’ironie et la dérision comme on aiguise une lame. Ce billet est le 859ᵉ du genre, mais l’actualité étant ce qu’elle est – un concentré de Connerie en haute intensité – il nous a semblé opportun de mettre, le temps d’un article, un peu de sérieux dans notre impertinence.
À bout de souffle en France, Emmanuel Macron tente de se remettre en selle sur la scène internationale, mais il n’arrive pas à convaincre… la poisse lui colle à la peau !
Bienvenue dans la plus grande salle de cinéma du monde pour assister, en direct live, à la plus gigantesque production pornographique géopolitique jamais imaginée. La mise en scène est racoleuse !
Toute ressemblance avec des personnages existants ou ayant existé serait fortuite et ne pourrait être que le fruit d’un malheureux, mais très réjouissant hasard. Récit dystopique. Catho-tradi s'abstenir.
Cette année, nous avons pris quelques semaines de retard, vous voudrez bien nous le pardonner : l’année a été particulièrement riche en matière de conneries, les candidats, très nombreux, particulièrement inspirés, se sont livré une guerre sans merci pour figurer en bonne place sur le podium.
2024, un cru exceptionnel !