-
Aujourd’hui, dans un communiqué, la famille Maldonado réclame vérité et justice pour la mort de Santiago.
Demain, les argentins iront voter pour choisir leurs représentants au Congrès. Le texte du journaliste Luis Bruschtein, paru dans le journal Página 12 éclaire sur la « méthode Macri » de démolition de l’adversaire.
-
Le journaliste politique Roberto Navarro, celui de la meilleure audience en Argentine, vient d’être évincé de la chaîne de télévision C5N, la seule qui propose une vision différente des médias monopolistiques. Mauricio Macri a fait pression sur le patron de la chaîne pour obliger le journaliste à la démission. Finalement Navarro a été viré à cause de ses enquêtes sur la corruption macriste.
-
le 18 septembre 2017
2922 jours…soit plus de huit ans dans les prisons de la dictature argentine. Qu’est-ce qui a pu pousser Eduardo Jozami, trente-cinq ans après, à répéter ce qu’il a souvent dit aux juges, à ajouter son témoignage à ceux de ses camarades ?
-
Pendant que le gouvernement Macri nie qu'il s'agit d'une disparition forcée, une énorme mobilisation se déroule en Argentine pour son apparition en vie à un mois de son disparition lors d’une opération de la gendarmerie nationale contre les Mapuches.
-
Selon plusieurs témoins, Santiago Maldonado fut arrêté le 1er août par la gendarmerie à Cushamen, province de Chubut, au sud du pays lors d’une manifestation contre la détention illégale du dirigeant Mapuche, Facundo Jones Huala. La répression fut dirigée par Pablo Noceti, chef de cabinet de la ministre de la Sécurité, Patricia Bullrich.
-
Hier, jeudi 8 mai, lors de sa visite au Parc de la Mémoire à Buenos Aires, Angela Merkel a dû écouter, non sans agacement, les vibrantes paroles de Vera Jarach, dont son grand père fut déporté à Auschwitz et sa fille Franca, séquestrée par les militaires en 1976, est toujours portée disparue.
-
La Cour suprême de justice vient de décidér d’appliquer une loi abrogée, la N° 24.390 appelée la « deux pour un » qui permettrai la libération anticipée des militaires condamnés. Cette loi ne peut pas s’appliquer aux responsables de crimes contre l’humanité et pour cette raison la décision est illégale et inconstitutionnelle.
-
A la veille du 41ème anniversaire du coup d’état du 24 mars 1976, un ras le bol généralisé déferle dans les rues : grève et mobilisation massive des enseignants, manifestations ouvrières, défilés gigantesques le 8 mars pour la journée internationale de la femme, blocages des rues par les organisations sociales, et grève générale annoncée pour le 6 avril par tous les syndicats.
-
Invité par la fondation OSDE,Tzvetan Todorov s'est rendu en Argentine pour la première fois en novembre 2010. M'ayant sollicité pour obtenir des renseignements sur mon pays, je lui ai suggéré quelques lectures et donné les contacts d'amis dirigeants des lieux de Mémoire. A son retour il a publié un article dans le journal espagnol « El Pais » provoquant la polémique en Argentine.
-
L’ex militaire et actuel directeur général des Douanes, Juan José Gómez Centurion affirme que la dictature n’avait pas "un plan systématique pour la disparition de personnes ni génocidaire » et que les actions de l'armée étaient tout simplement une « réaction excessive ».