Contre la violence machiste et pour l'avortement légal, sûr et gratuit. Lors de mon séjour en Argentine j’ai participé à la mobilisation du 8 mars organisée principalement par le collectif « Ni una menos » (pas une de plus) et d'autres organisations syndicales. Par centaines de milliers, des femmes de tous âges ont défilé dans les rues de Buenos Aires et dans tout le pays.
Qui est Juana ? Une militante révolutionnaire qui a trahi ? Une mère qui échange sa vie contre celle de son enfant ? Ou la prisonnière d’un cauchemar qui tente de survivre ?
Le président brésilien Michel Temer, issu du coup d’état parlementaire contre Dilma Rousseff avoue "préférer que Lula puisse se présenter à l’élection présidentielle de cette année pour éviter des tensions...". Un juge fédéral demande la confiscation du passeport de Lula l’empêchant de quitter le pays. Vendredi 2 février, un autre juge demande de le lui restituer. Pourquoi tant d’acharnement?
Suite à l'arrivée du président argentin à Paris pour s'entretenir avec le président Macron et Anne Hidalgo, Maire de Paris, l'ACAF appelle à un rassemblement samedi 27 à 11h20, pour dénoncer la dérive répressive du gouvernement Macri et la dégradation de l'Etat de droit en Argentine
Le vendredi 26 janvier les deux présidents vont se réunir. L’Argentine sera t-elle présente dans les médias français pour parler de la dérive répressive du gouvernement de M. Macri et de la dégradation économique, sociale et institutionnelle dont souffre le pays ? La lettre ouverte adressée a M. Macron par des membres de la communauté argentine fait état d'un bilan accablant de la gestion Macri.
La principale ville balnéaire d’Argentine est en émoi : l’ancien directeur de la police de Buenos Aires de la dictature argentine (1976-1983), âgé de 88 ans, est sorti de prison et a été installé dans sa maison de la ville de Mar del Plata, malgré les six condamnations à la réclusion à perpétuité pour crimes contre l’humanité.
« Nous devons vendre. Nous ne sommes pas là pour nous masturber sur tel ou tel sujet ». Ce sont ces paroles où la vérité éclate qui m’ont donné l’envie de suggérer à Oliverio Toscani un scénario masturbatoire tout aussi stimulant que celui des enfants noirs, dorés ou rouges de ses brillantes publicités, et pourtant sciemment oublié : celui des indiens mapuches de la Patagonie argentine.
Une chasse inédite contre l’opposition en Argentine.
Mauricio Macri ne fait pas dans la dentelle : répression de toute contestation, régression de salaires et retraites, soutien sans faille aux gendarmes tueurs, déportation de participants à la réunion de l’OMC à Buenos Aires, chasse aux sorcières généralisée d’anciens membres du gouvernement, de journalistes et de juges. Tout un programme.
Le 25 novembre, jour où la famille et les amis de Santiago Maldonado lui disaient adieux dans la maison funéraire, un membre de la communauté mapuche Lafken Winkul Mapu est mort près de Bariloche, dans une zone où elle avait été expulsée jeudi dernier.
Qui est donc Milagro Sala, prisonnière politique la plus célèbre d’Argentine ?
Pour le savoir, Alicia Dujovne Ortiz est allée enquêter sur place, dans la province de Jujuy, au printemps 2017. Elle a rencontré Milagro Sala dans sa prison ainsi que son mari, ses camarades de luttes, des membres de son association Tupac Amaru, ses voisins, ses ennemis aussi.