Avez-vous vu le film « Yesterday » (2019) de Danny Boyle dans lequel le monde se réveille après une panne d’électricité planétaire sans n’avoir jamais entendu parler du plus grand groupe de rock de tous les temps, les Beatles (ni du Coca-Cola et des cigarettes), et où Jack Malik, jeune musicien sans gloire, devient une star mondiale en faisant connaître au monde entier les chansons des Beatles ?
Prisons surchargées, récidives élevées : la réinsertion des anciens détenus dans la société est un sujet épineux.
Reportage auprès de l'Association l'Ilôt qui oeuvre pour la réinsertion par l'activité économique.
Il était une fois un Français, le roi Louis-Philippe, qui, à la suite de la proclamation de l’indépendance d’un royaume naissant en 1830, donna à son roi, Léopold 1er, sa fille Louise, devenant la première reine des belges. C’est ainsi que débuta l’histoire de la Belgique et que se scella à tout jamais l’amitié franco-belge.
« J'ai pris un homard sauce tomate / Il avait du poil au pattes / Félicie aussi… » : en 1939, lorsque Fernandel chante « Félicie aussi », il est déjà un acteur connu et reconnu. Ses succès cinématographiques ne l’écarteront pourtant pas de ses premières amours, celles grâce lesquelles il s’est fait connaître : la chanson comique.
Enseignante à l’EJCAM à l’Université de Marseille, j’ai pour habitude, chaque année, de demander à mes étudiants de décrypter un grand moment de télé. Cette année, les yeux des étudiants se sont faits plus interrogatifs qu’à l’accoutumée. J’ai compris que je parlais désormais d’un temps que les moins de 25 ans ne pouvaient pas connaître ; la télévision, telle que nous la regardions, n’existe plus.
Au début était l’affiche de cinéma.
La toute première, créée pour les frères Lumières s’est envolée l’été dernier pour 190 000€ chez Sotheby’s. Le film « L’Arroseur arrosé » avait été diffusé le 28 décembre 1895 (devant 33 personnes, 1 franc l’entrée), préfigurant ce qui allait devenir l’un des phénomènes culturels et artistiques sociaux les plus importants du 20e siècle.
« Finir en Ehpad ? Plutôt mourir ! »
Les Ehpad n’ont pas la côte. Il faut dire qu’ils accumulent les tares : un endroit cher, dont on ne revient jamais et qui cache sous son petit mouchoir ceux que l’on ne voudrait jamais voir : les vieux grabataires. Combo parfait, la sentence est tombée : les Ehpad seront ces lieux où l’on maltraite nos vieux. Le verdict n’est-il pas rapide ?