Regards dans le miroir

Pour me faire une idée de cette médecine qu'il faut sauver, pour mieux comprendre de qui et de quoi on parle lorsque l'on parle de médecin généraliste, j’ai ouvert mon bloc-notes et allumé mon appareil photo auprès de Sandrine Santoul durant toute une journée. Au pied des Pyrénées, cette généraliste à la bonne humeur communicative m’a ouvert la porte de son cabinet et m’a embarquée avec elle en visites.

Entre une consultation au montant non revalorisé et un quotidien de plus en plus mangé par les tâches administratives, sans oublier les pressions exercées par l’Assurance maladie, nos « médecins de famille » s’épuisent. Dès l’université, les étudiants hésitent à choisir cette spécialité. Pour tenter une nouvelle fois de faire entendre le malaise qui gagne leurs rangs, les médecins généralistes sont appelés à la grève depuis hier, lundi.

Entre une consultation au montant non revalorisé et un quotidien de plus en plus mangé par les tâches administratives, sans oublier les pressions exercées par l’Assurance maladie, nos « médecins de famille » s’épuisent. Dès l’université, les étudiants hésitent à choisir cette spécialité. Pour tenter une nouvelle fois de faire entendre le malaise qui gagne leurs rangs, les médecins généralistes sont appelés à faire grève à partir de ce lundi 5 octobre.

Entre une consultation au montant non revalorisé et un quotidien de plus en plus mangé par les tâches administratives, sans oublier les pressions exercées par l’Assurance maladie, nos « médecins de famille » s’épuisent. Dès l’université, les étudiants hésitent à choisir cette spécialité. Pour tenter une nouvelle fois de faire entendre le malaise qui gagne leurs rangs, les médecins généralistes sont appelés à faire grève à partir du 5 octobre.

Si les formes sévères d’autisme peuvent être source de souffrances, Marie Bernat témoigne de ce que son autisme lui a apporté. Du moins, depuis qu’elle sait qu’elle en est atteinte, après plus de vingt ans à tenter de se conformer au moule de la société. De l’importance d’un diagnostic pour comprendre et vivre avec, à celle de s’écouter pour s’autoriser à aller bien, Marie livre son parcours.

Quarantenaire humaniste et infirmier en psychiatrie, Christophe plaide pour du soin sur mesure dans des institutions encore trop souvent rigides. Alors que la sécurité est régulièrement utilisée pour justifier des pratiques infantilisantes et des privations de liberté, il invite ses collègues à plus de souplesse dans le soin psychiatrique.