
Christine Marcandier
Littérature
Paris
Sa biographie
Professeur des universités (littérature française). Journaliste littéraire à Mediapart (2011-2015) et désormais sur diacritik.com
Ses éditions
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Articles d'éditions
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Édition Les mains dans les poches
No Impact Man
«Pour devenir No Impact Man, il ne suffit pas d’entrer dans une cabine téléphonique et d’en ressortir avec un slip enfilé par-dessus le pantalon, déguisé en super-héros écolo». -
Édition Bookclub
Tokyo, ville flottante
«Un raz de marée arrive. Bientôt, j’en suis sûr, tout le monde mourra.» -
Édition Bookclub
Nuits insomniaques
«Le sommeil est une expérience intime»«C’est la guerre, mon pote. Ah, la guerre contre la drogue, jolie phrase, mais ouvrez un peu les yeux : ça a toujours été une guerre pour la drogue.»«Le monde était fait de produits chimiques» -
Édition Bookclub
Arrêter d'écrire
Curieux petit livre au drôle de titre. D’abord parce que ce double infinitif, «arrêter d’écrire» impose une durée, montrant bien que la décision et l’entreprise sont complexes. Et qu’il est loin d’être un impératif que s’adresserait «Écrivain», narrateur de certaines des phrases qui composent cet ouvrage étrange - on devrait dire qui ouvrent cette composition étrange, cet assemblage. -
Édition Les mains dans les poches
La Faculté des rêves
«Toutes les personnes qui apparaissent dans ce roman doivent être considérées comme fictives, y compris Valerie Solanas». -
Édition Les mains dans les poches
Ici et maintenant
«Absence, errance, incomplétude. Eh bien, me dis-je en marquant ma page, si c’est ça que le Dieu juif apprécie, attends un peu qu’il me rencontre».«Si une chose, et une seule, pouvait me définir, me dis-je, c’était cette incertitude, ce petit espace vide entre oui et non». -
Édition Bookclub
Arrêtez-moi là !
«Je suis un personnage dans une histoire à propos d’une illusion à laquelle chacun veut croire.Je suis en prison, et je vais passer devant le juge.Je suis complètement baisé». -
Édition Bookclub
Lionel-Édouard Martin, Le Tremblement
«La parole – et singulièrement l’écriture, ce donné bien plus que ce don –, si elle ne fait que lisser en surface un réel essentiellement craquelé, morcelé, grenu, a cette fonction cardinale d’unir les êtres et de combler de voix l’espace qui les disjoint. Je crois au pont, cette main tendue vers l’autre berge.» (L.-E. Martin, L’Homme hermétique, 2007) -
Édition Les mains dans les poches
Sonallah Ibrahim, Cette odeur-là
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Édition Bookclub
We can’t be heroes
En 2006, Deborah Eisenberg publiait un roman implacablement titré Zwilight of the Superheroes (Le crépuscule des superhéros, L’Olivier, 2009). En 2011, Marco Mancassola lui donne la réplique (sismique) avec La Vita erotica dei superuomini (La Vie sexuelle des super-héros, Gallimard). Comme l’illustration romanesque des installations de Gilles Barbier, L’Hospice (2002) ou du passage des Heroes de David Bowie (1977) – «we can be heroes / just for one day» - aux Zeroes, dix ans plus tard, sur l’album Never let me down. «Ne tombe pas», derniers mots, murmurés, de La Vie sexuelle des super-héros, justement.
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