Son blog
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Miscellanées
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Vélo-cité ? Difficile à Dijon de rouler sereinement
Paraîtrait qu’à Dijon les vélos sont trop véloces. Sans doute pas plus que les carrosses grenat qui manquent de les écraser dans les voies partagées. Ni que les bagnoles qui caracolent sur les boulevards. C’est pas pour autant qu’on pense à les interdire. Mais les vélos, si fait. Exclus de la bien mal nommée rue de la Liberté, interdits de circuler sous peine d’une amende pas très honorable.
Ses articles d'édition
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Édition Je me souviens....
Je me souviens de leurs Saint-Valentin
Je me souviens de leurs Saint-Valentin. Elles avaient le parfum des sourires complices, fidèles et solides. En ces moments plus encore, mes parents rejoignaient une sorte de temple antique où flottaient en bannière leurs années d’amoureux parisiens. -
Édition Des livres et nous
Le maître ignorant, de Jacques Rancière
Les familles s'inquiètent : leurs enfants prendraient du retard car un parent ne sait pas expliquer. L'histoire de Jacotot racontée par Rancière, pourrait leur parler. En exil à Louvain, ce pédagogue montre en 1818 comment enseigner ce qu'on ne connait pas. Pour lui, l'instruction est en réalité un outil pour maintenir l'inégalité entre les êtres, alors qu'ils partagent la même intelligence. -
Édition Je me souviens....
Ma grand-mère sorcière
On entrait chez Simone par la cour de ferme ou bien par le jardinet sur la rue. Chacun des chemins avait des petits bonheurs. Côté rue, c'était le bouton à tourner du portillon, le gravier qui sonne et peut-être par la fenêtre d'à côté les sourires des cousins qui passeraient leur tête, après celle de leur mère, brune et joyeuse. -
Édition Je me souviens....
Alice
© clR Elle est debout, habillée d’une jupe noire avec un calicot à manches courtes, et elle a sous son chapeau un grand sourire qui illumine la brassée de fleurs serrées contre son coeur. C’est Alice. En noir et blanc sur la photo. -
Édition Je me souviens....
Qui paie ?
Lorsque je vois sur les écrans le nombre de fonctionnaires mobilisés par l'état pour démolir cinq cabanes de bric et de broc, je me souviens de ce correspondant anglais de mon frère aîné qui se levait après le repas, bien droit derrière sa chaise, et remerciait mes parents.