La prochaine assemblée des actionnaires de RENAULT devrait-être une formalité pour son PDG. Ce bilan Monsieur GHOSN saura, n’en doutons pas, le partager avec le conseil d’administration de Renault lequel peut être associé à la bonne gouvernance du groupe NISSAN, dont il a su représenter les intérêts, que cela soit au détriment du groupe RENAULT ne semble pas l’émouvoir.
D’après ce qui transpire les résultats sur les Renault posent question. Des défauts techniques ont été décelés, qui vont d’une simple remise à niveau à des défaillances qui mettent en cause les niveaux de décision de l’entreprise. A ce stade il est légitime de se demander depuis quand le groupe connaissait-il ces problèmes ? Quelle est l’ampleur exacte des lacunes du système de dépollution ? Le co
D’après ce qui transpire les résultats sur les Renault posent question. Des défauts techniques ont été décelés, qui vont d’une simple remise à niveau à des défaillances qui mettent en cause les niveaux de décision de l’entreprise. A ce stade il est légitime de se demander depuis quand le groupe connaissait-il ces problèmes ? Quelle est l’ampleur exacte des lacunes du système de dépollution ? Le co
Pourquoi l'Etat français a-t-il cédé aux exigences de Monsieur C. GHOSN ?
Pour quelles raisons les représentants des salariés au conseil d'administration font-ils confiance au PDG de Renault ?
Carlos Ghosn peut avoir le triomphe modeste. Son chantage a payé. L’accord de stabilisation répond à ses exigences. Il sort renforcé de ce conflit .....
LE CONSEIL D'ADMINISTRATION DE RENAULT A APPROUVE A L'UNANIMITÉ UN ACCORD DE STABILISATION DE L'ALLIANCE ENTRE RENAULT ET NISSAN (communiqué de Renault)
Après huit mois d’un affrontement larvé entre Carlos Ghosn et l’État français, un armistice a été conclu sous la forme d’un « pacte de stabilisation » qui consacre la suprématie de Nissan.
Le 11 décembre le conseil d’administration de Renault est convoqué. En conflit ouvert avec son ministre de tutelle le P-DG de Renault ira-t-il à l’affrontement ?
Le double jeu de Carlos Ghossn
Nissan veut modifier les termes de son alliance avec Renault en montant au capital du constructeur français. La demande du japonais entraînerait "un net renversement du fonctionnement de l'Alliance au détriment de français", selon des observateurs avisés, pouvant conduire à faire de Renault une filiale de Nissan......