Madame la Maire de Paris,
Je vous en supplie,
faites le choix de l'intelligence et de la démocratie.
Pour stopper la Covid-19,
la mesure de prudence est de garder une distance d'un mètre...
ou, alors1…
de porter un masque.
Partout ! Partout...
c'est dire aussi chez soi.
Je ne sais quelles pressions vous subissez de la préfecture de Paris,
mais, je peux les imaginer.
Notre démocratie est en danger.
L'obligation du port d'un masque à l'extérieur
participe à la restriction de nos libertés.
Elle signifie très et trop fortement "Taisez-vous" !
Elle participe à la stratégie de la peur.
Entre la peste ou le choléra,
mieux vaut être très strict sur le respect des distances dans l'espace public.
Même avec la menace d'une amende !
Message qui a très bien été entendu.
Certes, il est difficile de pallier le défaut
d’information et de communication des gouvernements Macron,
mais, prenez la parole
pour dire aux Parisien-nes de faire preuve d'intelligence.
S'il vous plait !
Mobilisons-nous pour qu’une démocratie active, sociale et universelle chante le temps de la Vie, de toutes les Vies…
Pour le 120ème anniversaire de la première plaque commémorative,
rendons hommage aux victimes de la semaine sanglante qui a mis fin à La Commune de 1871,
à 11 heures, au carrefour des rues de la Solidarité et David d’Angers, Paris 19
Chaque jour apporte de nouvelles informations insoutenables à propos de l’invasion de l’Ukraine par les troupes de Putin ! Comment mettre fin à ce qui est maintenant qualifié de génocide, et assurément d’écocide ?
Et, chez nous, comment retrouver le temps de l’émancipation dans une démocratie vivante et collaborative.
S’organiser en temps de pandémie, c’est un projet individuel et collectif ;
subir les dévoiements de la démocratie par un gouvernement, une aliénation.
Comment sortir de l’absurdité, de politiques cupides et étroitement intéressées ?
Comment vivre à nouveau paisiblement et convivialement ?
Malgré la présence d’un virus qui peut provoquer une maladie respiratoire sévère, trop souvent mortelle.
Le coronavirus n’est pas le seul, et il ne disparaitra ni pas par magie, ni par un autoritarisme vide de (bon) sens et d’empathie.
Quand les processus démocratiques seront-ils mobilisés ?
Afin que, tous ensemble, nous puissions organiser une vie sociale et culturelle de nouveau émancipatrice, malgré les conditions imposées pour stopper la pandémie ?
Quand sortirons-nous du confinement de nos cerveaux ?
L’ennui posé par ‘’lenvironnement’’, c’est qu’il serait bien difficile de s’accorder sur une définition !
Au contraire de la biodiversité et du climat qui sont des concepts scientifiquement précisés.
Un problème ayant été identifié, le principe de précaution impose de mettre en œuvre des procédures d’évaluation et d’adopter des mesures, provisoires mais proportionnées, afin de parer aux dommages prévisibles.