L’actualité me rappelle un épisode vieux de près de 20 ans, où j’avais été amené à rencontrer plusieurs fois François Bayrou et à échanger par mail avec lui, avec quelques incidents qui m’avaient donné à penser.
Les systèmes technologiques les plus critiques sont minutieusement conçus pour éviter les pannes en toute circonstance, sauf éventuellement dans des cas très improbables. Est-ce également le cas de nos institutions ?
Qu’est-ce qui pousse les dirigeants politiques à financer la recherche scientifique ? Comment choisir à qui attribuer des fonds ? Voici des questions particulièrement pertinentes alors qu’on examine le budget de la Recherche au Parlement.
Le chroniqueur économique Nicolas Bouzou a publié le 21 janvier sur le site du Figaro un article titré « Que les chercheurs du CNRS qui nous enjoignent de quitter X se demandent plutôt pourquoi il n’y a pas de Musk européen ». Que faut-il comprendre ?
Avec l’hiver reviennent les discussions autour de ParcourSup. Je voudrais ici récapituler quelques points factuels concernant ce dispositif, contrastant avec certains discours ambiants, puis faire quelques commentaires plus généraux sur notre système d’enseignement supérieur.
Le 26 octobre dernier, le site du Figaro publiait un article de Judith Waintraub intitulé « Il incarne la réussite et les échecs de la recherche publique : le CNRS, paradis des sciences “molles” qui coûte cher, très cher ». Cet article reprenait principalement les propos de ma collègue Florence Bergeaud-Blackler, qui a d’ailleurs reposté l’article sur son site personnel.
L’intelligence artificielle, du moins dans certaines de ses versions, est très coûteuse en matériels et en électricité. Le jeu en vaut-il la chandelle, à une époque où on doit se préoccuper d’économiser l’énergie et minimiser l’impact carbone des productions ?