Confronté aux données publiées par l’ANSM, le Ministre de la Santé a été contraint de reconnaitre devant le Conseil d'Etat les conséquences potentiellement graves de l’administration des vaccins ARNm : 24% des effets secondaires constatés suite à l’administration d’une ou plusieurs doses ont entraîné un décès, la mise en jeu du pronostic vital, une hospitalisation ou une invalidité.
Alors que la cinquième vague défraie la chronique, l’obligation vaccinale agite les consciences : certains affirment que c’est la seule façon d’endiguer l’épidémie, d’autres qu’elle constitue une arme de destruction massive des libertés.
Le 8 février 2017, le Conseil d’Etat a jugé qu’il était illégal de contraindre des familles à accepter des vaccins obligatoires combinés avec d’autres vaccins non obligatoires. Il a donné six mois au Ministre de la santé pour assurer la disponibilité du vaccin DT-Polio - seul exigé par la loi - sans que celui-ci ne soit associé à des vaccins supplémentaires.