Historien et journaliste indépendant, spécialiste des relations internationales et notamment du Proche-Orient, animateur bénévole de La Chance.
Paris - France
Hier, dans la Newsletter du CRIF, son président, Francis Kalifat, exigeait une loi interdisant l’antisionisme. Une nouvelle escalade contre la liberté d’expression...
Pour la troisième année consécutive, une trentaine de lecteurs du «Monde diplomatique» vient de séjourner une semaine en Israël-Palestine. Le programme se concentrait sur des rencontres avec les sociétés civiles. Une occasion pour Dominique Vidal, qui guidait les participants avec Anaïs et Joan, de confronter sur le terrain analyses et réalités.
Le premier débat des "Géopolitiques de Nantes", organisées par l'IRIS, était consacré, vendredi 29 septembre, au Proche-Orient, avec Didier Billion, Samy Cohen, Alain Dieckhoff, Marianne Meunier et votre serviteur - devant un public impressionnant de centaines de personnes attentives qui frappaient par leur jeunesse. Voici mon intervention sur la radicalisation d'Israël...
« Nous ne céderons rien à l’antisionisme car il est la forme réinventée de l’antisémitisme. » Cette phrase finale est venue gâcher le discours salutaire d’Emmanuel Macron lors de la commémoration du 75e anniversaire de la rafle du Vél d’Hiv, devant Benyamin Netanyahou. Une erreur historique, une faute politique.
Le 16 juin, le directeur des programmes d'Arte écrit à Sammy Ghozlan qu'il ne diffuserait pas le documentaire sur l'antisémitisme commandé par la chaîne. Cinq jours plus tard, le film est pourtant programmé. Que s'est-il passé ? En Allemagne, la polémique a gonflé. En France, le président du CRIF s'en est mêlé. Qui a imposé cette volte-face et pourquoi ? Par Dominique Vidal et Thomas Vescovi
Merci aux 220 universitaires et journalistes qui ont signé cette pétition. Les grévistes de la faim ont atteint un objectif : le droit à deux visites par mois au lieu d'une. Mais ils n'ont pas obtenu la mise à disposition de téléphones. Le combat continue donc pour l'amélioration des conditions de détention et pour la libération de tous. Ils ont plus que jamais besoin de nous. T. V. et D. V.
« Quand le sage montre la lune, le sot regarde le doigt. » Ce proverbe décrit on ne peut mieux la couverture journalistique des tensions actuelles au Front national (FN).
Chacun est évidemment libre de son vote. Le boycott des urnes, a fortiori l'abstention font partie d'une tradition contestataire légitime.
À condition de ne pas les justifier par des arguments absurdes, voire indignes.