Depuis 2016, cette édition aborde l'histoire et l'actualité des mondes hispanophones contemporains, notamment l'Espagne, sa politique intérieure et ses mouvements sociaux.
Édition suivie par 60 abonnés
Hispanofonía
À propos de l'édition
-
Édition Hispanofonía
Quand quatorze kilomètres de mer séparent l'Afrique de l'Europe
Intervention du Salvamar Polaris au large de l'île de Tabarca (Alicante, Valence) © Salvamento Marítimo En ce dernier jour de juillet, 118 personnes sont arrivées sur le sol espagnol par la Méditerranée, ce qui a mis en alerte toutes les équipes de sauvetage du sud du pays dans la crainte de voir arriver ces prochains jours d'autres candidat-es à la migration clandestine. Environ 6 500 personnes ont été secourues en mer Méditerranée depuis jeudi dernier, notamment par la Marine italienne. -
Édition Hispanofonía
Gibraltar ne perd pas le nord
La courte et dangereuse piste d'aterrisage de Gibraltar marque la frontière avec l'Espagne © BBC Reconnue depuis plus de trois siècles par l’Espagne à travers le traité d’Utrecht (1713), la possession britannique de Gibraltar pourrait de nouver poser problème : 95,9 % des gibraltarien-ne-s souhaitent rester dans l’UE. -
Édition Hispanofonía
La Catalogne se trouve à la gauche de l'Espagne
Alicia Sánchez (au centre) dirige le PP en Catalogne. Seules deux Communautés Autonomes ont échappé à la victoire du Parti Populaire : le Pays Basque et la Catalogne. Au regard des forces en présence dans ces deux régions, l'opposition au Parti Populaire s'y apparente de plus en plus à une dissidence. -
Édition Hispanofonía
Nous ne sommes pas seuls
No estamos solos [VOSTFR], de Pere Joan Ventura © Doña LoRcaC'est le message que relaye Pere Joan Ventura à travers cette oeuvre de 2015. Un film documentaire choral et musical, sous-titré en français, où les luttes sociales convergent inexorablement dans la reformulation d'un projet de société. -
Édition Hispanofonía
Cette Espagne qui vient
Sondage réalisé en mai auprès de 17 500 personnes par le Centre d'Investigations Sociologiques (CIS). Alors que la déflation suit son cours au sein de la quatrième économie de la zone euro, quand 1,4 millions de foyers sont régulièrement victimes de coupures d'eau, d'électricité ou de gaz, plan détaillé sur les propositions de Unidos Podemos en vue des élections générales du 26 juin, point d'ancrage pour un éventuel Front Populaire ces prochains mois. -
Édition Hispanofonía
La police au siège de BNP Paribas à Madrid
En 2015, le juge José de la Mata a repris en mains l'enquête diligentée en Espagne sur le présumé délit de blanchiment de capitaux de la filiale genevoise de la HSBC. Cette semaine, la Guardia Civil s'est invitée aux sièges de Santander et de BNP Paribas. -
Édition Hispanofonía
«Agua sí, oro ¡no!»
Dirty Gold War : de la mine à la vitrine. «De la mine à la vitrine» (2015) est un documentaire disponible sur Arte jusqu'au 17 mai 2016. Daniel Schweizer y détaille l'exploitation de l'or depuis les Andes péruviennes jusqu'à la Suisse, en passant par Belo Monte. -
Édition Hispanofonía
Mauricio Macri : d'Argentine, des Bahamas ou du Panamá ?
Le Président Macri est soupçonné de fraude fiscale par le juge Federico Delgado. © Diego Waldmann L'Argentine s'enfoncera-t-elle avec son Président, dont la participation dans deux entreprises offshore a été révélée par la presse dans le dossier "Panama Papers" ? Mauricio Macri, par l'entremise de ses avocats, a d'ores et déjà commencé à s'expliquer devant la Commission Anti-corruption et le Tribunal Civil de Buenos Aires ; où résonne le son des casseroles. -
Édition Hispanofonía
La criée et la RAE
colau-boqueria-620x349 © TWITTER @Ada Colau Ada Colau, maire de Barcelone depuis juin 2015, s'est de nouveau retrouvée au centre du viseur du mépris médiatico-conservateur cette semaine, déclenchant une joute communicationnelle qui n'en est qu'à sa génèse... -
Édition Hispanofonía
Podemos et le signe [3/3]
Irene Montero, Iñigo Errejón et Pablos Iglesias au Congrès espagnol © Marta Jara Après plus de deux mois de blocage institutionnel, une première session parlementaire ordinaire a eu lieu ce mardi en Espagne. Absents, Pedro Sánchez, secrétaire général du PSOE, et Mariano Rajoy, l'actuel Premier ministre, n'ont pas pu assister aux premiers discours à la tribune parlementaire d'Irene Montero et d'Iñigo Errejón, 28 et 32 ans, tous deux porte-paroles et députés podémistes.