Lycéennes, lycéens...

La rédaction lycéenne s'enrichit de contributeurs vivant à l'étranger. Cette semaine un billet de Meriem - lycéenne au lycée français du Caire - sur le bidonville Ezbet el-Nakhl.

Mais qui sont-ce ? Oui qui sont-ce ces lycéennes et lycéens qui depuis 8 mois alimentent cette édition ? Certains parmi eux se sont livrés pour vous au délicat exercice de l'autoportrait.

Mais qui sont-ce ? Oui qui sont-ce ces lycéennes et lycéens qui depuis 8 mois alimentent cette édition ? Certains parmi eux se sont livrés pour vous au délicat exercice de l'autoportrait.

Entre le moment où George Bush a ordonné de trouver un « lieu approprié » pour incarcérer les étrangers, détenus au nom de la « guerre contre le terrorisme », et l'arrivée des 20 premiers prisonniers sur Guantánamo Bay, à peine deux mois s'étaient écoulés. Onze ans plus tard, cette prison totalement inadaptée semble avoir vu le jour en un temps record. Mais s'il n'aura fallu que sept semaines pour que le centre de détention de Guantánamo soit opérationnel, huit années se sont déjà écoulées depuis que les autorités américaines ont déclaré vouloir le fermer, en vain. Oui, le premier État au monde à envoyer un homme sur la Lune ne semble pas parvenir à fermer une prison, qui cause pourtant bien des préjudices (politiques, économiques et moraux) à son pays.

Mais qui sont-ce ? Oui qui sont-ce ces lycéennes et lycéens qui depuis 8 mois alimentent cette édition ? Certains parmi eux se sont livrés pour vous au délicat exercice de l'autoportrait.

"Si j'étais Dieu." Cette formulation appelle le conditionnel. Je n'aime pas le conditionnel, parce qu'il suppose des conditions. Et conditionner c'est en quelques sortes contraindre. Or, la contrainte restreint le choix.

Mais qui sont-ce ? Oui qui sont-ce ces lycéennes et lycéens qui depuis 8 mois alimentent cette édition ? Certains parmi eux se sont livrés pour vous au délicat exercice de l'autoportrait.

Petit maillon de la grande chaîne de notre nouvelle génération, je fais partie des malheureux qui ne pourront jamais se débarrasser des traces de l'ancienne. Ceux qui sont désespérément condamnés à ne pas pouvoir se plaindre, ceux qu'on a privés d'un droit inaliénable : avoir quelque chose à dire à son psy à 40 ans.

Le 3 avril, à Alès, M. Claude Mazauric, professeur agrégé d’histoire à l’université de Rouen et auteur d’articles sur la Révolution ainsi que d’une biographie de Jean-Jacques Rousseau, est venu donner une conférence sur Rousseau et la Révolution.

Ah, les pions, les pions… Je crois qu’on s’est tous déjà irrité en entendant un surveillant nous dire ces phrases cultes : « Eh ! Tu peux enlever ton bonnet ? », « Mademoiselle la cigarette s'il te plait ! » ou « Range ton portable, ce n’est pas le lieu. ».